« Josy » La reine de la nuit. Épisode 2 : Salope, elle le devient très vite.
Datte: 13/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... mon soutien-gorge et ma petite culotte blanche, il me regarda de la tête aux pieds et me dit d’un ton admiratif : « Tu es devenue une très jolie femme Josiane. Je vais ausculter ton dos, mais je dois dégrafer ton soutien-gorge. » Son regard en disait long, cela me gênait quelques peu, j’avais perdu mon assurance : « Allez allonge-toi à plat ventre sur la table. »
Ses mains massèrent le long de la colonne vertébrale, c’était très agréable, ça me détendait, puis ses mains passèrent sur mes épaules, mes omoplates, mes flans tout en effleurant mes seins écrasés sur le cuir de la table. Puis elles continuèrent de descendre sur mes lombes, avant de s’éterniser sur mon arrière train. Après de longues secondes de caresses, qui me faisaient du bien, il finit par me les malaxer fermement, ses doigts s’insinuaient au passage dans la raie de mes fesses, je commençais à mouiller le fond de ma culotte :— Bon ! Tout va bien. Dis-moi Jo, je me suis aperçu que mon père t’a prescrit la pilule. T’a-t-il ausculté ?
— Oui ! Le docteur est très consciencieux, je ne suis plus vierge si c’est cela que vous voulez savoir. Dis-je en retrouvant un peu d’assurance.
Jean- Charles me demanda de retirer ma culotte, je me retrouvais complètement nue, jambes pliées et écartées. Après avoir enfilé un gant en latex, il se plaça devant moi et enfonça un doigt puis deux dans ma chatte. Je trouvais la situation très agréable : « Je confirme bien, tu n’es plus vierge. » Dit-il avant de m’enfoncer un doigt ...
... dans l’anus : « Par là non plus. » Je reconnais bien le travail de papa, il ne t’a pas ausculté qu’avec ses doigts, n’est-ce pas ? » Dit-il en retirant son gant. J’étais très déçue de sa réaction, je pensais qu’il en avait terminé. Sans doute ne voulait-il pas marcher sur les plates-bandes de son père :— C'est déjà fini ? Dois-je me rhabiller maintenant où voulez-vous poursuivre plus loin cet examen ?
Il se remit en position et un doigt avait repris possession de ma fente et me branlait sans retenue. Il rajouta un doigt, puis un autre, ils glissaient tous seuls, tellement j’étais trempée : « Tu es une belle coquine Josiane. Je vois que tu aimes ça, tu mouilles. » Sans attendre de réponse, il se pencha entre mes cuisses pour y plonger sa tête. Il lécha doucement l'intérieur de mes cuisses puis mes grandes lèvres. Lorsque sa langue se glissa dans ma fente, je fus parcourue d'un grand frisson, j’étais au septième ciel.
J’avais chaud, très chaud malgré ma nudité, sa langue remonta sur mon clitoris qu’elle titillait, c’était génial, j’en gémissais de plaisir. Il était très doué et on sentait à la façon de s’y prendre qu’il avait de l'expérience. Soudain lorsque ses doigts s’immiscèrent dans ma fente, je jouis comme une salope envoyant de grand jet de mouille sur son visage. Décidément Jean- Charles était encore plus habile que son père. Mon corps était en émoi, je m’abandonnai complètement à lui pour le plaisir qu’il me procurait.
C'était carrément grandiose, je garderai ...