1. « Josy » La reine de la nuit. Épisode 2 : Salope, elle le devient très vite.


    Datte: 13/03/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    En effet, après ce dimanche après-midi de folie avec le docteur, j’étais devenue une salope, je ne pensais qu’au sexe toute la journée. J’avais pourtant attendu près d’une semaine avant qu’André ne vienne un soir dans ma chambre pour me dépuceler. Ce soir-là, juste après avoir fait la vaisselle, ma mère ayant ses règles, était allée se coucher tôt. Je faisais mes devoirs dans ma chambre et vers 21 heures trente, j’étais descendue dans la cuisine pour boire, lorsque le docteur m’invita à regarder la télé avec lui.
    
    Je savais qu’il n’attendait que cela, j’étais déjà en pyjama quand je m’étais assise à côté de lui. Il m’embrassa, me pelota la poitrine puis d’une main experte, mon entrejambe. Moi aussi je le caressais, il bandait le salaud, comme lui, j’étais chaude bouillante, je mouillais comme une folle. Nous n’avions pas attendu pour monter dans ma chambre. Après lui avoir fait une fellation, très excité, il n’attendit pas pour venir me pénétrer sans vergogne, comme si je lui appartenais. En définitive, c’était le cas car il pouvait faire de moi ce qu’il désirait.
    
    J’atteins l’orgasme que quelques minutes après m’avoir déflorée, sa belle queue remplissait parfaitement ma petite chatte serrée, il allait et venait en moi, coulissant à la perfection. J’étais aux anges, je jouis une seconde fois juste avant qu’il me retourne pour m’enculer. Si je m’étais retenue de crier pendant mes orgasmes, je ne pus le faire lorsqu’il jouit avec moi, déversant son sperme dans mon conduit ...
    ... anal. C’était magique, je venais de prendre une nouvelle fois mon pied. Heureusement ma mère n’entendit pas mes cris, André était redescendu tout heureux de sa performance.
    
    Cela dura ainsi pendant plusieurs semaines, cependant une fois tous les cinq ou six jours, je n’en avais pas assez. Je comprenais qu’à son âge, le docteur essayant de contenter ma mère, était incapable de me satisfaire comme je l’aurais souhaité. Il était à mille lieues de connaitre mes réels besoins. Je devais poursuivre mes masturbations endiablées avec mes fruits et légumes. À cette époque, j’avais un petit copain, Simon le fils du boucher du village avec lequel je flirtais dans le bus pour aller au lycée.
    
    Avec ce que j’avais connu, je n’étais plus timide, je me permis beaucoup plus de chose avec lui, pour son plus grand bonheur et je m’aperçus en le tâtant au fond de l’autocar qu’il avait ce qu’il fallait dans le pantalon. Toutefois, le docteur ne me laissait que très peu de sortie, pourtant j’avais très envie de baiser avec Simon. Je me doutais bien qu’il n’avait jamais fait cela auparavant, même s’il s’en vantait auprès de ses copains. En effet, il était assez maladroit, j’étais obligée de lui dire comment il fallait faire pour me caresser.
    
    Ce ne fut que pendant les événements de mai 68 que l’occasion s’était présentée. Ce jour-là, arrivés au lycée, nous avions appris qu’il y avait grève, nombreux furent ceux qui étaient allés manifester. Moi au contraire, ayant la liberté de quelques heures, ...
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