« Josy » La reine de la nuit. Épisode 2 : Salope, elle le devient très vite.
Datte: 13/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Perruche, Source: Hds
... je proposai à Simon de rentrer. L’ayant chauffé pendant le voyage en bus, le fils du boucher était très impatient de se retrouver seul avec moi et me proposa d’aller avec lui, dans la cabane en bois qui se trouvait au fond de son jardin.
Tellement pressée d’en découdre, une fois dans le bric-à-brac, nous nous collions l’un contre l’autre pour nous embrasser. Je sentais contre mon ventre la bosse au niveau de son entrejambe. Il bandait comme un taureau, nous étions tous les deux, chauds comme de la braise. Pendant que ses mains s’étaient aventurées sous mon corsage, tout doucement, je baissai la fermeture éclair de son pantalon. Ma main coquine vint s'immiscer dans l’ouverture pour caresser cette queue encore prisonnière du tissu de son slip.
Je sentis sous mes doigts les formes avantageuses de cette belle queue gonflée à bloc que je devais libérer. À tour de rôle, je défis sa ceinture puis le bouton de son pantalon avant de baisser l’ensemble. Je m’installai assise sur des sacs de ciment et tirai Simon vers moi. D'un geste prompt, je baissai son slip afin de libérer enfin sa verge qui me donna l’impression de vouloir me sauter à la figure. Quelle queue ! Plus grosse que celle d’André, pour moi, c’était une pure merveille avec son gland turgescent d’où s'échappaient quelques gouttes nacrées.
Je ne pus attendre plus longtemps, l’embrassant, la léchant, la suçant et la branlant, tout en malaxant ses couilles qui pendaient entre ses jambes. Après une bonne dizaine de ...
... minutes, Simon qui n’avait jamais connu cela, commençait à suffoquer, il me maintenait la tête au même rythme que j’imposais avec ma bouche, le long de sa colonne de chair. Pendant que je le suçais, je le branlais activement sur la base de sa bite, en même temps : « Attention Jo, je vais jouir cria-t-il. » je ne m’en étais pas occupée, c’était ce que je voulais : « Vas-y ! Crache-moi dans ma bouche. »
En effet, j’adorais désormais voir le visage d’un homme se vider entre mes lèvres et je m’étais bien habituée au gout et à la texture. Je pris alors mes deux mains, l'une branlant sa queue, l'autre par mouvements circulaires sur le gland. Pour recueillir son sperme, je le suçais activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres. Je ne voulais rien perdre, je m'activais avec détermination et application. Simon ne résista pas à mon acharnement, il lâcha un râle et déchargea tout en me tenant la tête.
Ces premières giclées furent impressionnantes, elles me remplirent la bouche. Je ne pus tout garder, un flot de sperme s’échappa d’entre mes lèvres mais il n’avait pas encore fini d’éjaculer. Cela n’avait rien à voir avec la quantité que le docteur m’envoyait. Pris de spasmes, Simon n'en finissait pas d’inonder ma bouche, par de longues saccades de ce liquide blanchâtre et visqueux. Désirant tout avaler, je dus faire un bel effort pour parvenir à mes fins, devant les yeux ahuris du fils du boucher qui me regardait avec stupéfaction.
De ma ...