1. Le sexe, c'est politique


    Datte: 07/03/2024, Catégories: ffh, fplusag, grosseins, lunettes, hotel, Collègues / Travail jalousie, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, portrait, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... gourmande députée, ou peut-être une réelle démarche professionnelle. Mais à son arrivée, il ne découvrit que Chloé, ses lunettes rectangulaires, sa raie sur le côté, ses pieds chaussés de ballerines mais une jupe un peu plus courte que d’habitude, dévoilant des jambes fines et nerveuses, et un corsage à boutons ouvert un peu trop bas pour être honnête. Après avoir fermé la porte à clé, elle prit le journaliste bille en tête, assise à son bureau, face à lui :
    
    — À quoi vous jouez exactement ? Pourquoi draguez-vous ma patronne ? Qu’est-ce que vous cherchez ?
    — Euh, pardon, mais primo, c’est elle qui me drague et secundo, en quoi ça vous regarde ?
    — Je veille sur ses intérêts et je ne crois pas que, vu la différence d’âge entre vous, vous ne poursuivez pas un but malsain. Avez-vous couché avec elle ?
    — Demandez-le-lui. Quant à la différence d’âge, ça n’a aucune importance pour moi.
    — Vous n’aimez pas les jeunes femmes ?
    
    Chloé s’était levée de son siège et s’était assise sur le bureau devant lui. La jupe était remontée très haut sur ses cuisses nues. Boris déglutit.
    
    — Euh, bien sûr que si mais…
    — En fait, vous en avez peur et vous jouez la sécurité avec les femmes mûres.
    — Mais pas du tout, je…
    
    Boris s’interrompit, cloué sur son siège. Chloé, la main posée en arrière sur le bureau, venait d’écarter les cuisses sous son nez. L’absence de slip découvrait une chatte glabre.
    
    — Si vous n’avez pas peur, prouvez-le-moi.
    
    Alors, Boris retrouva son instinct de mâle. ...
    ... Cette petite salope à lunettes rectangulaires le provoquait pour qu’il la baise. Il oublia qu’il risquait gros dans l’affaire. Après avoir ôté sa veste, il lui écarta les genoux et plongea son museau entre ses cuisses ouvertes. Une main ferme lui prit aussitôt la nuque. La fente était onctueuse et pendant qu’il l’honorait, il l’entendit gémir, puis dire distinctement :
    
    — Baise-moi maintenant.
    
    Quand il se releva, le museau poisseux de son jus abondant, elle lui tendit un préservatif. La petite garce avait tout prévu. Coiffé rapidement et pantalon sur les chevilles, il l’enfila sur le bureau, sa mini-jupe repliée à hauteur du nombril et lui asséna des coups vigoureux de son manche de pioche, les yeux dans les siens à travers ses lunettes rectangulaires. Il comprit d’emblée qu’il avait affaire à une dévoreuse. Les talons dans ses reins et le verbe haut, elle manifestait un enthousiasme sexuel qu’il était loin d’imaginer la première fois qu’il l’avait vue, avec son air sage d’assistante zélée. Impression d’autant plus fallacieuse que, d’une certaine manière, elle trompait sa patronne pour son propre plaisir. Il fallait maintenant que Boris soit à la hauteur de cet appétit, sous peine d’être rapidement dévalué et dénigré.
    
    Il la retourna, lui mit un genou sur le bureau et ainsi très ouverte, il reprit son travail de sape qui semblait tant lui plaire. Les peaux claquèrent dans le bureau. L’assistante parlementaire était moins vulgaire que sa patronne dans le plaisir. Elle ...
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