1. Le sexe, c'est politique


    Datte: 07/03/2024, Catégories: ffh, fplusag, grosseins, lunettes, hotel, Collègues / Travail jalousie, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, portrait, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    Nathalie, élue au Sénat, et Marie, de même à l’Assemblée nationale, étaient politiquement opposées mais elles avaient un point commun : un goût prononcé pour le cul. Quinquagénaires et divorcées l’une et l’autre, elles mettaient toute leur énergie dans leur mandat et se donnaient tous les moyens pour durer. Les mauvaises langues disaient qu’elles « baisaient utile ». Ce n’était pas tout à fait faux. Leurs amants avaient généralement du pouvoir et en tout cas celui de favoriser la suite de leur carrière. N’empêche qu’à tout prendre, elles préféraient y trouver du plaisir, faire flamber leurs sens et jouir de leur corps dont les hommes s’accordaient à reconnaître la parfaite conservation.
    
    Grande et fine, Nathalie misait sur ses jambes très souvent découvertes à moitié. Plus ronde, Marie jouait avec des décolletés plongeants sur un sillon mammaire profond et une paire de seins défiant l’apesanteur. Il va sans dire qu’en représentation officielle, leur tenue était beaucoup plus sage et classique. Mais dès qu’elles en sortaient, leur sexualité éclatait. « Deux femmes qui baisent » : telle était la conviction des mâles de leur entourage, mais réduits le plus souvent aux ragots de couloir les concernant.
    
    Nathalie et Marie se seraient contentées de s’opposer verbalement dans le plus classique des cadres politiques si une discorde plus intime et moins avouable n’était apparue entre elles. Investies sur le même territoire, dont nous tairons le nom, elles avaient en vue le même ...
    ... homme pour le mettre dans leur lit. C’était un journaliste de la presse locale chargé de la politique, donc influent par ses écrits. Brun aux yeux bleus, corps de danseur et âgé d’une trentaine d’années, il faisait fondre beaucoup de cœurs et on évoquait à son sujet un palmarès féminin d’autant plus impressionnant qu’il était célibataire. Il répondait au prénom de Boris et cultivait sa latinité par des vêtements le plus souvent italiens, ajoutant la classe à sa masculinité.
    
    Devant lui, Nathalie et Marie fondaient, confiant secrets de partis, accordant quelques scoops au point d’agacer leurs amis politiques, le plus souvent après des déjeuners en tête à tête à l’issue desquels elles espéraient une proposition malhonnête de leur commensal, mais qui ne venait jamais.
    
    Sachant que leur rivale poursuivait le même but, à savoir mettre le beau Boris dans leur lit, l’une comme l’autre rivalisaient de charme, voire de provocation, pour être la première à y parvenir. Mais Marie avait beau faire bâiller son corsage entrouvert et Nathalie croiser les jambes au ras de son slip, le journaliste les considérait l’œil amusé, sans leur donner l’once d’un espoir. Elles étaient néanmoins persuadées que ce baiseur finirait par les honorer de sa queue. Il fallait juste trouver le bon moyen.
    
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    Avant de poursuivre, arrêtons-nous un peu sur ce Boris qui faisait chavirer les cœurs… et écarter les cuisses. Engagé dans une rédaction où l’élément féminin équilibrait largement le masculin, ...
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