1. Le sexe, c'est politique


    Datte: 07/03/2024, Catégories: ffh, fplusag, grosseins, lunettes, hotel, Collègues / Travail jalousie, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, portrait, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... il avait fait vaciller quelques couples en raison de sa propension à séduire, quels que soient l’âge et la fonction de sa cible. Il avait frôlé le licenciement à la suite d’une liaison avec la cheffe d’un ancien service qui s’était terminée en drame, le mari ayant tenté de se suicider. Muté, il avait décidé de chasser en dehors de son environnement professionnel, ce qui plut à sa hiérarchie, un peu moins à certaines collaboratrices qui auraient bien voulu voir de quoi il retournait exactement à l’intérieur de son pantalon. Mariées ou pas.
    
    Engagé dans une rédaction où il était chargé de suivre la politique locale, il avait vite vu le parti qu’il pouvait tirer de son « sex appeal ». Une conseillère départementale, une chargée de communication municipale et une directrice de service avaient notamment été écartelées par ses soins et reçu un pilonnage en règle qui avait quelque peu chamboulé leur sexualité conjugale. Mais il savait marcher sur des œufs et qu’on ne lui pardonnerait pas un nouveau scandale.
    
    La fréquentation de la sénatrice et de la députée lui ouvrait de nouvelles perspectives. Le danger était autre : être manipulé à des fins politiques. En revanche, le risque inhérent à l’adultère était nul, les deux dames étant libres et fières de l’être. Elles étaient aussi bavardes, ce qui était tout bénéfice pour le contenu de ses articles, dont il fut rapidement remarqué la justesse des informations et l’anticipation des événements.
    
    Mais aussi et surtout, elles le ...
    ... mettaient en appétit. Il attribuait à la sénatrice les jambes de Sandrine Kiberlain et à la députée les seins de Karin Viard. Rien que d’y penser, il triquait. La difficulté n’était pas de les tringler, elles ne demandaient visiblement que ça. Elle était d’établir une sorte de parité de sexe rejoignant la politique éditoriale de son journal consistant à ne pas favoriser un camp plutôt que l’autre. En clair, s’il baisait l’une, il lui faudrait absolument baiser l’autre. Et rapidos pour ne pas créer un incident fâcheux. Les circonstances dicteraient par qui commencer.
    
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    Au cours d’un nouveau déjeuner « de travail » durant lequel Nathalie lui délivra les derniers bruits de couloir du Sénat, elle lui lança l’invitation à venir visiter le Palais du Luxembourg, siège de la Haute assemblée. Ne connaissant pas les lieux, il accepta avec joie et dégagea deux jours de congé dans cette perspective. Elle lui proposa un hôtel pour la nuit intermédiaire, mais il fut surpris qu’il fût aussi loin de la visite alors que les établissements pullulaient à proximité. Elle l’expliqua par la possibilité d’une soirée théâtrale où elle pourrait réserver deux places. Et c’est ainsi que Boris arriva avec son baluchon. Le Palais du Luxembourg étant un joyau architectural, il en prit plein les yeux sous la conduite de son guide, entre deux séances de commissions. Et le soir arriva.
    
    Lorsqu’il la découvrit au lieu de rendez-vous, il marqua la surprise. Elle avait troqué son tailleur strict ...
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