1. Le sexe, c'est politique


    Datte: 07/03/2024, Catégories: ffh, fplusag, grosseins, lunettes, hotel, Collègues / Travail jalousie, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, portrait, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... tournée dans les communes de sa circonscription qu’un journaliste (le « sien ») pourrait suivre en sa compagnie. Une intimité en naîtrait forcément. Elle en mouillait d’avance. Sa rivale avait bien précisé à son auditrice (car c’était une femme qui avait tout rapporté, comme par hasard) qu’elle s’était « régalée » et que le dénommé Boris avait été « à la hauteur de sa réputation ». Grrr…
    
    Pour le journaliste, cette tournée locale était déjà une bonne opération rédactionnelle. L’effectuer en compagnie de la pulpeuse députée constituait un piment supplémentaire. La voiture était conduite par l’assistante parlementaire, une dénommée Chloé, prototype de l’ex-étudiante de Science po, lunettes rectangulaires, raie sur le côté de sa chevelure mi-longue, fringuée en boutique et naturellement zélée. Boris et Marie étaient assis à l’arrière. La députée la jouait sexy : jupe courte, corsage généreusement déboutonné sur son profond sillon mammaire, maquillée et manucurée de rouge carmin. Sur le siège, la jupe remontait si haut qu’en se penchant en avant, Boris aurait pu sans difficulté apercevoir son slip. Marie n’avait aucun complexe à exhiber ses cuisses charnues et son petit ventre rond moulé dans sa mini-jupe. Elle se trouvait à un stade physique où on ne pouvait pas la qualifier de « ronde » mais pas de mince non plus. Boris la trouva voluptueuse.
    
    Il n’était pas le seul car les élus qui la recevaient se trouvaient visiblement sous son charme. Elle promenait ses nichons sous ...
    ... leur nez en affectant le naturel et Boris surprit quelques regards fixes, pour ne pas dire envieux. Les seins de Marie étaient de ceux qu’un homme normalement constitué a envie de libérer avant de les empaumer, les palper, les sucer, et placer sa bite entre les deux. Le bruit courait dans la presse parlementaire qu’elle avait la plus belle paire de Roberts de l’Assemblée nationale. Boris ne doutait pas que certains confrères les avaient vus de près car la dame n’avait pas la réputation d’être très farouche.
    
    ******
    
    Au déjeuner avec quelques élus, Boris se trouvait entre Marie et l’assistante parlementaire, face à leurs interlocuteurs. La nourriture était riche, le vin généreusement servi, et le visage poupin de Marie ne tarda pas à se colorer de rose. Vers la fin du déjeuner, Boris sentit le pied nu de la députée se poser sur le sien. Elle trouva même le moyen de lui caresser le tibia et le mollet car il ne se dérobait pas. Il bandait sous sa serviette de table, et se montrait heureux qu’elle fût là. Les convives étant proches les uns des autres, la caressante ne risquait pas d’être surprise. Mais quand la cuisse de l’assistante parlementaire entra en contact avec celle de Boris, pour y rester, il comprit que le terrain devenait marécageux. La serviette de table allait finir par monter un peu trop haut. Heureusement, la puissance invitante en la personne du maire local décida la fin des agapes et après un temps d’arrêt, que Marie rechausse son escarpin et Boris entame sa « ...
«12...456...10»