1. Le sexe, c'est politique


    Datte: 07/03/2024, Catégories: ffh, fplusag, grosseins, lunettes, hotel, Collègues / Travail jalousie, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral préservati, pénétratio, fsodo, portrait, Humour Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... contre une robe à fines bretelles fendue jusqu’au haut de la cuisse et décolletée jusqu’au creux des reins. Sans soutien-gorge. Juchée sur des escarpins, elle ondulait en marchant, révélant les fines coutures d’un string sous la robe légère. Elle avait lâché le chignon pour laisser ses cheveux blonds tomber sur ses épaules. Elle était l’image même de la femme sexuelle. Consciente de son petit effet, elle rayonnait et le conduisit aux deux places réservées. La pièce était une comédie et ils rirent plusieurs fois. Après l’entracte, il lui mit la main sur la cuisse nue, résistant à l’envie de remonter et elle ne se déroba pas. À la fin de la pièce, ils s’embrassaient même goulûment. Et c’est dans le plus parfait naturel qu’ils prirent la direction de l’hôtel où Boris avait déjà posé son bagage.
    
    À peine entrée dans la chambre, elle posa les mains sur les bretelles de sa robe pour les faire glisser le long de ses bras et le vêtement tomba comme une corolle sur ses chevilles. Elle fit valser ses escarpins avant de se laisser tomber sur le lit, seulement vêtue de son string. Son regard pétillait.
    
    — Alors, monsieur le journaliste, on la fait, cette interview ? gloussa-t-elle.
    
    Si les hommes nantis d’une belle réputation de baiseur ont un problème, c’est celui d’être toujours à la hauteur de leur réputation. La sénatrice ayant quelques heures de vol et une expérience indiscutable, n’étant pas au surplus suspecte de vouloir entamer une liaison, mais seulement désireuse de ...
    ... prendre son pied, Boris n’avait pas d’autre choix que de se surpasser. Un comportement moyen ne pouvait que le desservir, tant pour son ego que pour ses informations futures. Dans ces circonstances, la seule option était d’être très cochon et très virulent.
    
    Mais Nathalie n’avait pas intérêt non plus à se montrer attentiste et passive. Rendant quelques années à son chevalier servant, il s’agissait de démontrer que l’âge n’est pas un handicap au lit mais un atout. Déjà bien heureuse que son corps continue de faire bander.
    
    Sur ce plan, elle fut rassurée. Quand Boris baissa son pantalon, une tige droite et raide en sortit, qu’elle taquina de son pied nu, soupesant même les couilles au passage. Elle n’eut qu’à soulever les fesses pour qu’il tire son string et dévoile une chatte glabre et charnue. Il avait pour habitude de commencer par un cunni et avait acquis à la longue une certaine dextérité, si on peut dire. En la léchant, il croisa son regard. Tête levée, elle observait son activité linguale en se mordant la lèvre inférieure et en laissant échapper parfois un petit cri. Jusqu’au moment où elle souffla :
    
    — Enfile-moi maintenant.
    
    Le propos était cru. Il n’était que l’introduction d’une série de mots du sexe témoignant que la dame, hors du Palais du Luxembourg, disposait d’un vocabulaire nettement moins conventionnel. Boris passa donc un très bon moment et n’eut pas à se forcer pour chahuter ce corps incandescent, le tournant et le retournant au gré des envies du couple, ...
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