Réveillon au golf
Datte: 07/03/2024,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
forêt,
campagne,
hotel,
fête,
douche,
amour,
BDSM / Fétichisme
caresses,
pénétratio,
fsodo,
historique,
Auteur: Diable Mouret, Source: Revebebe
... dire que, dans un premier temps, c’est la fente horizontale qui est choisie car, pendant quelques minutes, je n’entends plus la voix de ma factrice, j’en déduis que, à cette phase de leurs ébats, c’est elle qui a la bouche pleine.
C’est alors que ma sorcière réapparaît en tenue de nuit. Elle est vêtue d’une réinterprétation de la « chemise de nuit à fente » qui, dans les siècles passés, permettait aux époux légitimes de copuler pour perpétuer l’espèce sans impudicité.
Là, pour l’impudicité, je suis servi sur un plateau. La chemise de nuit, tombant presque jusqu’aux genoux, est ornée d’un motif doré qui représente le cadre d’un tableau dont le titre est inscrit sur une petite étiquette : « L’origine du Monde » par Gustave Courbet. Et, à la place du tableau, une ouverture rectangulaire met en scène, en lieu et place de la luxuriante et luxurieuse toison rousse du modèle de Courbet, la toison soigneusement taillée de Béalaure.
C’est, me dit-elle, le cadeau de Noël de ses filles. Car ses filles non contentes de filer un amour sincère, coupent et cousent des sous-vêtements et des dessous chics ainsi que, à l’occasion des tenues de scènes pour les cabarets.
Pas de doute, pour que ce vêtement cadre aussi parfaitement avec l’anatomie de ma sorcière, il a fallu qu’il soit réalisé sur mesures, et par des professionnelles aguerries. J’en suis tout ému.
Il est évident que je dois examiner de près ce tableau vivant et vérifier si la peinture n’est pas trop fraîche. ...
... Visiblement, c’est le cas, car tout ceci est encore humide et envisage de s’humidifier encore au fur et à mesure que je regarde, que je hume et que je tâte.
Les bruits et les sons qui nous parviennent de la chambre voisine ne réussissent pas à nous déconcentrer, bien au contraire. Comme dans un véritable sabbat de sorcières, nous nous trouvons en train de célébrer le Nouvel An en stéréo, que dis-je, en quadriphonie intégrale.
Béalaure me rappelle que, au matin précédent, elle m’avait demandé de remettre sa sodomie à l’année suivante et que nous venons de franchir le seuil du Nouvel An.
Elle a apporté quelques pots emplis d’onguents lubrifiants préparés par son assistant et associé. Visiblement, ces produits ont été testés et approuvés par des experts. Nous humons et tâtons les mélanges pour choisir, au final, un produit à l’arôme plutôt boisé.
Pour notre première pénétration anale, peau contre peau, sans latex interposé, j’enduis donc généreusement tenon et mortaise avec cette petite merveille de la cosmétique intime.
Encouragés par les soupirs de la chambre voisine, je m’introduis dans le fondement de ma sorcière non sans avoir retroussé la chemise de nuit dont l’ouverture ne permettait pas un accès aisé par la face nord du plaisir.
Comme dans un chant polyphonique, nos soupirs conjoints se coordonnent à travers la cloison sous la baguette imaginaire d’un chef d’orchestre virtuel et nous nous offrons mutuellement un concert du Nouvel An aussi endiablé ...