Réveillon au golf
Datte: 07/03/2024,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
forêt,
campagne,
hotel,
fête,
douche,
amour,
BDSM / Fétichisme
caresses,
pénétratio,
fsodo,
historique,
Auteur: Diable Mouret, Source: Revebebe
... premier étage : nos chambres sont au deuxième niveau.
Le botaniste dit alors aux filles que, si elles continuent comme ça, nous risquons de leur sauter dessus avant le haut des marches.
Béalaure propose de nous « donner un os à ronger » pour nous faire patienter.
La factrice corrige en proposant de remplacer l’os à ronger par une culotte à renifler.
Elles prennent une poignée de marches d’avance, remontent à nouveau leurs jupes et font glisser leurs petites culottes sur les marches en nous demandant de les ramasser.
Le botaniste récupère un string à motif léopard, avec rubans noirs. Sous-vêtement festif relativement classique pour sa génération. La culotte de Béalaure, que je ramasse affectueusement, est un peu plus enveloppante et aurait pu être plus pudique, mais sa découpe et ses dentelles en font plus un présentoir mettant en valeur les charmes de ma belle qu’un voile dissimulateur.
D’un même geste, nous humons les effluves intimes de nos amoureuses, et, dans la foulée, nous nous trouvons contraints de remettre à la verticale nos bandaisons qui s’arc-boutent douloureusement dans nos caleçons.
À mon âge, je récite quelques vers de Léo Ferré entendus moins d’une heure auparavant :
Quand nous arrivons à l’étage, les filles ont déjà disparu dans les chambres, dont les portes sont grandes ouvertes.
Le temps de souhaiter une bonne soirée au botaniste, j’entrevois la tenue de soirée de ma postière qui s’envole et pendant qu’il referme la porte, je ...
... l’entr’aperçois, allongée sur le dos, au bout du lit, les talons sous les fesses, cuisses largement écartées, exhibant une orchidée charnelle déjà bien luisante que le botaniste se dépêche d’aller butiner. Je suis obligé de refermer moi-même la porte de leur chambre, car il est trop hypnotisé par cette corolle écarlate. Juste un instant, j’ai une pensée émue pour les insectes qui se précipitent dans les plantes carnivores.
Béalaure, elle, est déjà dans notre salle de bains. Seule reste sur le lit sa robe de soirée, visiblement enlevée hâtivement. J’attends sagement qu’elle réapparaisse en tenue de nuit. Je constate en passant que l’insonorisation des chambres est très médiocre.
Franchement parler, on pourrait même insinuer que c’est une véritable sono interactive. Au début, je n’entends guère que la voix de ma factrice ; je présume que, dans la continuité de l’action entrevue, la langue du botaniste a autre chose à faire. Ensuite, il est question d’une carte de « Bonne année » à glisser dans la boîte aux lettres de la Poste. La voix de ma postière explique que la carte doit être, au préalable, mise sous enveloppe et le botaniste demande s’il doit glisser sa correspondance dans la boîte réservée au courrier de proximité ou dans celle du courrier longue distance. Les comparaisons postales deviennent alors plus approximatives car il est question de mettre le courrier soit dans la fente verticale, soit dans la fente horizontale, soit dans l’orifice circulaire. Je pense pouvoir ...