Caprice, orgueil et conséquences 1
Datte: 04/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Bichou2, Source: Hds
... gauche.
Pendant des heures, je me fais prendre par tous les trous, sucer les tétons, caresser et lécher la vulve, sucer et titiller le clito, prise en même temps par le sexe du mâle et par les doigts de fée de Clotilde ou par un gode sorti de nulle part.
Je ne suis pas en reste de lécher Clotilde dans des 69 étourdissants, de lui pomper le clitoris pendant que Gérard sodomise sa femme ou me prend moi-même par derrière. Ou encore, pendant qu’elle me broute la chatte, je suce Gérard. Quel pied !
Rien ne m’est épargné et ma jouissance dure longtemps et est ininterrompue, je ne compte plus mes orgasmes.
C’est une première réussie et j’ai réalisé un fantasme que je ne croyais jamais pouvoir assouvir. Evidemment, le problème est que j’ai trompé mon mari, ce que, ça aussi, je ne pensais jamais oser faire
Mais quelle soirée ! Je n’ai jamais autant joui !
A 4h du matin, Gérard et sa femme me ramènent à la maison, épuisée, les cheveux en bataille, le rimmel ayant coulé et le string à la main.
Aïe, mon mari m’attend.
- Que t’arrive-t-il me dit-il d’un ton cassant. Où étais-tu passée ? en me voyant, horrifié par mon état qui ne laisse aucun doute sur mes activités de la soirée.
- Tu le vois, je me suis bien amusée selon ton conseil dis-je d’un ton acerbe en lui montrant mon string souillé comme un trophée et faisant la fière.
- Ne te moque pas trop de moi. Raconte-moi dit-il d’un ton où la colère pointe.
- Je suis fatiguée et si tu veux avoir des ...
... détails, je te raconterai tout demain matin. Mais je peux te dire que Gérard et son épouse m’ont bien baisé. Quel pied et quels baiseurs ! Tu m’avais promis une nuit d’enfer ? Je l’ai eue, mais c’est eux qui me l’ont offerte ! Et pour compléter le tableau, ils m’ont invitée la semaine prochaine à une soirée chez eux.
- Très bien chérie. Nous irons dit mon mari d’un ton sec avec des trémolos dans la voix annonçant l’explosion, si telle est ta volonté. Mais nous en reparlerons.
- Pas besoin, cela ne te concerne pas. J’irai seule et tu ne devras pas m’attendre. Ils ont précisé que je pouvais dormir chez eux. Là-dessus, bonne nuit.
Je le plante, comme lui m’a abandonnée, ne lui laissant pas le temps de répliquer.
J’ai bien conscience que s’il ne dit rien maintenant, gare à la suite !
Le lendemain matin, les explications sont houleuses, il fallait s’y attendre.
- Tu peux m’expliquer ? Sois convaincante !
- Ne m’agresse pas et écoute ce que j’ai vécu. A peine entrée dans la salle, je me suis fait pratiquement assaillir, mon cul a été caressé, mes fesses pelotées sans vergogne et je n’ai pas osé réagir de peur de faire de l’esclandre. Tu n’aurais pas apprécié !
- Et lorsque je t’ai dit que je devais aller à une réunion, pourquoi ne m’as-tu rien dit ?
- J’étais déjà très excitée par le traitement subi, je le reconnais, d’autant qu’avant de venir, tu m’avais bien chauffée !
- Cela va être de ma faute maintenant !
- Ne sois pas sarcastique. Pendant que tu me ...