Caprice, orgueil et conséquences 1
Datte: 04/03/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Bichou2, Source: Hds
... président vient de me faire savoir qu’après la cérémonie de présentation, nous devons tenir une réunion d’urgence pour statuer sur un cas difficile. J’ignore le temps que cela va prendre mais profite de la soirée ; amuse-toi. Si je suis trop long, ne m’attends pas et rentre à la maison, je te rejoindrai dès que possible. Je t’aime ».
Il me colle un bisou bien sage et me plante alors que j’ai toujours ce doigt qui caresse ma vulve, s’introduit et se retire dans un lent mouvement particulièrement érotique.
Je n’ai quasi rien capté du message si ce n’est qu’il va me planter alors que je suis au bord de l’extase. Merde !
Il n’a rien vu, rien soupçonné ! Incroyable ! Décidément, ces hommes sont aveugles !
Une main m’agrippe le bras, m’entraine vers la sortie de la salle, me dirige vers les ascenseurs où les caresses continuent. Je suis dans un brouillard tellement submergée par le plaisir et les tremblements de mon corps. Je suis finalement poussée dans une chambre luxueuse à la décoration raffinée propice au plaisir sensuel. Je flotte dans le bien-être et le bonheur.
J’aurais dû et pu dire non, mais c’était trop tard. Mes sens ont pris le pas sur mon cerveau.
Je reconnais Gérard et son épouse Clotilde. Ils m’entrainent dans un trio, ce sera la première fois pour moi, une grande première.
Elle m’enlace, m’embrasse et son baiser est doux, nos langues jouent follement. Sa main droite s’empare de mon sein gauche et le triture au travers de ma robe dont la ...
... fermeture arrière commence à être ouverte par son mari. Je sens les mains du mâle me caresser le dos, puis dégrafer mon soutien-gorge, me caresser le sein droit par derrière, titiller le téton que j’ai très sensible et qui durcit encore un peu plus à me faire mal.
Clotilde ôte ma robe, retire mon string, se dévêtit tout en continuant à me caresser la toison pubienne et finit par se coller à moi. Nues toutes les deux, je réponds à la sollicitation du ventre et me frotte langoureusement, poils contre poils à la recherche du clitoris.
Derrière, Gérard n’est pas en reste ; il s’est dévêtu, et introduit son sexe durcit entre mes fesses pour jouer et se frotter à ma vulve juteuse à souhait.
Je suis prise à présent en sandwich entre les deux envahisseurs et une volupté profonde et différente de ce que je connais m’envahit. Je sens le sexe dur de Gérard sur mes fesses qui s’insinue dans la raie allant de mon petit trou à mon vagin.
Je soupire, je gémis, je me tortille.
D’une main sûre, il dirige son vit et me caresse, ce qui augmente encore mon envie. Clotilde entraine la main de son mari vers mon puits d’amour et à deux, il titille mon clitoris pendant que l’autre caresse ma toison, écarte les lèvres intimes et entre dans mon abricot juteux. Je gémis, j’aime, j’adore, j’en veux plus. Mes hanches se mettent à onduler, j’écarte encore plus les jambes pour faciliter les assauts.
Ils me trainent vers ce lit tentateur et se couchent à côté de moi, l’un à droite et l’autre à ...