Miss Cata - Après
Datte: 29/02/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
amouroman,
retrouvailles,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... la vue, ma Justine !
Elle se met à plaisanter :
— On voit bien que t’es pas un vraibad boy !
— Pourquoi ?
— Un vraibad boy, il emmène sa nana à la baraque à frites et ça suffit bien comme ça.
— Il n’est pas trop tard pour changer d’avis et d’endroit.
— Nan, nan ! J’ai jamais mis les pieds dans ce restau-là, je veux découvrir si le plumage vaut le ramage ! En revanche… on ne peut pas dire que ma tenue soit idéale… ça doit être très sélect, là-dedans !
Connaissant un peu les lieux, je désigne une rue adjacente :
— Sauf erreur de ma part, il y a des magasins de vêtements par là…
— Euh, oui…
— Eh bien, cette fois-ci, ça ne sera pas un maillot de bain, mais une robe !
— T’es fou ou quoi ?
— Oui, fou de toi !
— Arrête, Boris, tu deviens trop nostalgique et trop lourd !
Je la tire par la main, direction un magasin de vêtement. Un quart d’heure plus tard, son ancienne robe pliée dans son gros sac à main, Justine ressort du magasin avec une robe noire plus seyante sur elle, à la place de l’ancienne. Comme ma chère copine d’enfance n’a pas perdu son goût pour les mini-catastrophes, entre-temps, elle a failli faire tomber un portique que j’ai rattrapé de justesse, et le rideau de la cabine d’essayage n’était pas bien fermé (j’ai pu apprécier un beau spectacle qui m’a rappelé divers souvenirs).
Justine n’est pas Miss Cata pour rien…
Une fois dans la rue, comme il y a quelques années, elle me donne un baiser sonore sur la joue, à l’orée des lèvres :
— ...
... Merci, vilain garçon !
— Pourquoi « vilain » ?
— Parce que tu m’as forcée.
— Eh, n’est-ce point le propre d’un B3, un bonbad boy ?
Pour toute réponse, elle se met à rire.
Quelques instants plus tard, nous sommes attablés dans le restaurant de mon hôtel, sous la grande verrière qui clôt la cour fermée de cet ancien couvent. Installée près du grand piano blanc à queue, après avoir passé son temps à reluquer les environs, Justine me confie :
— Encore heureux que tu m’as acheté une nouvelle robe, je me serais sentie déplacée avec ma tenue de boulot !
— Il ne faut pas ! L’habit ne fait pas le moine !
— Hihi ! C’est le cas de le dire dans un ancien couvent !
Pour marquer nos retrouvailles, nous nous offrons un repas peu commun. Justine a fait quelques difficultés, puis elle s’est quand même laissée tenter par un plat qu’elle n’aurait jamais pensé déguster de sa vie, à base de langoustine et de foie gras (si, ça existe ! ). Je sais qu’elle ne déteste pas les vins pétillants et légers, donc acte.
Justine me le reproche en plaisantant :
— Tu veux me saouler pour abuser de moi ou quoi ?
— L’idée est plaisante…
— Ça va te coûter un bras !
— Ce sont nos retrouvailles… Imagine toutes les glaces et toutes les gaufres que j’aurais pu t’acheter durant toutes ces années…
— Vu comme ça…
Le reste du repas se déroule fort bien. Le dessert glacé fait ouvrir de grands yeux à Justine, tant la coupe est grande et bien remplie. Tout en la dégustant, elle se moque un peu de ...