Miss Cata - Après
Datte: 29/02/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
amouroman,
retrouvailles,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... vers elle, j’en profite pour capturer ses mains par-dessus la table :
— Sors avec moi, Justine, reprenons les choses où nous les avions laissées.
— Mais ça fait des années, Boris !
— Tu n’as pas parfois l’impression que c’était hier ?
— Euh si… mais ça nous mènera à quoi d’avoir une aventure ?
Ses mains toujours captives, j’expose mon point de vue :
— Ou bien, nous constatons que c’était une amourette d’été, et nous n’aurons pas de regrets, juste une belle amitié entre toi et moi. Ou bien, nous constatons que c’est quelque chose de plus fort qui nous lie, toi et moi.
— Et si c’est… la deuxième solution ?
— Alors, on saura à quoi s’en tenir, puis on avisera.
Le nez pointé en direction de la table qui nous sépare, sans trop me regarder, elle soupire :
— Pourquoi tu veux savoir ?
— Tu hantes trop mes pensées ! Je veux savoir si je me leurre ou pas. Et si tu es en effet la femme de ma vie, pas question que je passe à côté de toi.
— Femme de ta vie, t’y vas de bon cœur !
Je lâche ses mains, puis aussitôt, les miennes capturent son visage par-dessus la table qui nous sépare. Je me penche afin de l’embrasser, d’abord délicatement, puis plus ardemment. Elle ne résiste pas, elle répond même à ma fougue. Je retrouve aussitôt le goût de nos baisers que les années n’ont pas estompé.
Quand nos lèvres se séparent, son visage rougissant toujours entre mes mains, je lui confie :
— Tu vois, c’est pour cette raison que je n’arrive pas à tourner la page… et toi ...
... aussi…
— T’es chiant, Boris ! J’avais enfin réussi à…
— À quoi, Justine ? À oublier ?
Troublée, baissant la tête sans oser me regarder, elle ne répond pas.
J’ai rapidement réussi à décrisper la situation. Puis nous nous sommes baladés dans la ville, main dans la main, naturellement. Diverses choses ont changé depuis la dernière fois que je suis venu dans le coin. Justine me raconte ce qu’elle sait à propos de toutes ces modifications, ces destructions puis constructions. Par exemple, ici tout un quartier a disparu pour faire place à des nouveaux logements ditshi-tech et écolo-pas-économiques, loués ou vendus un prix fou.
Désignant une construction en forme de pyramide végétalisée, Justine explique :
— Houla que c’est cher, j’en sais quelque chose ! Tu vois ce truc, je me suis renseignée pour y loger : trop onéreux ! Un T2 coûte aussi cher qu’une belle maison avec jardin à quinze kilomètres d’ici !
— Les joies du centre-ville…
Sans toutefois lâcher ma main, Justine s’agite :
— Tu parles ! À ce tarif, je préfère encore prendre le train chaque matin !
— Ce que tu fais déjà en quelque sorte, puisque tu prends le tram pour aller travailler.
— Oui, c’est vrai… mais mon appart est quand même assez proche du centre-ville.
Je regarde l’heure :
— Et si on allait manger ? Le restaurant de mon hôtel est réputé, et nous n’en sommes pas loin.
— T’es descendu où ?
— Le Couvent des Ursulines…
— Rien que ça ? Eh bé !
— Il faut au moins ça pour t’en mettre plein ...