Miss Cata - Après
Datte: 29/02/2024,
Catégories:
fh,
jeunes,
hotel,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
Oral
pénétratio,
fsodo,
amouroman,
retrouvailles,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... moi :
— T’as mal préparé ton coup, mon petit Boris !
— En quel honneur, ma grande Justine ?
— Avec tout ce que j’ai avalé, je ne vais avoir qu’une seule hâte : dormir pour digérer tout ça !
Le pire est qu’elle n’a pas tort ! J’aurais dû choisir un établissement Nouvelle-Cuisine dans lequel on vous sert des mets riquiqui présentés dans de gigantesques assiettes bien vides. Ou un truc moléculaire. Mais quand je mets les pieds dans un restau, j’aime en avoir pour mon argent…
Je viens de régler la note, après que le serveur eut apporté un petit papier plié en deux sur un plateau d’argent. L’addition est salée, plus salée que le caviar, mais je savais où je mettais les pieds. L’homme en blanc parti, Justine me remercie :
— Merci, Boris ! Au moins, je pourrais me vanter d’avoir dîné ici !
— Je suis heureux de t’avoir rendu ce service.
Elle me sourit, puis elle regarde derrière moi en direction du couloir qui mène aux étages :
— Après le restau, il faut quand même que je voie à quoi ressemble ta chambre. Il paraît que ce n’est pas triste, à l’image de tout ce que j’ai déjà pu voir ici !
— Pas de problème, c’est à deux pas d’ici.
Très légèrement titubante à cause de ses (petits) talons aiguilles et aussi du repas, elle se relève. Elle s’accroche à mon bras, tandis que je pose possessivement une main sur sa taille. Direction l’ascenseur puis un couloir à droite. J’ouvre la porte avec ma carte magnétique, puis je la laisse entrer la première.
— Oh putain, la ...
... chambre ! Euh pardon !
— Pas de souci, ça fait partie de ton charme.
— Tu me l’as déjà dit, il y a un bout de temps.
— Eh bien, je te le redis.
Ayant posé son sac dans le petit vestibule, lentement, elle fait le tour de la chambre puis de la salle d’eau pour venir ensuite se planter devant le grand lit :
— Eh bé ! C’est pas le petit modèle ! On peut s’y coucher aussi bien en long qu’en large.
Je m’approche de son dos. Je pose mes mains sur ses épaules :
— C’est un lit carré de deux mètres sur deux mètres.
Un peu grisée, elle se laisse aller en arrière contre moi :
— Si c’est un lit carré, je me doute bien que la largeur et la longueur sont identiques, connard !
— Ah, il y avait longtemps que je n’avais pas entendu ce mot-là !
Mes mains glissent le long de ses bras. Se laissant faire, elle répète :
— Oui, t’es qu’un gros connard, Boris !
— Pour quelle raison, Justine ?
Quittant ses bras, mes mains glissent délicatement sur son ventre. Planquant complètement son dos contre son torse et ses fesses contre la bosse de mon pantalon, Justine bredouille :
— Parce que… parce que je… j’ai envie de toi…
Capturant ses seins, je l’embrasse fougueusement dans le cou.
Malgré les années passées, j’ai très vite retrouvé toutes mes marques sur le corps à présent dénudé de Justine. Non, je n’ai rien oublié de ses monts et vallées, de la saveur de sa peau, de ses senteurs, de ses odeurs, de toutes ces choses dont on ne parle pas habituellement, même dans ...