1. Un examen très particulier


    Datte: 28/02/2024, Catégories: fh, fplusag, jeunes, profélève, école, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme pied, Masturbation caresses, nopéné, portrait, rencontre, Auteur: Juliette G, Source: Revebebe

    ... peut-être ça moins ridicule que simplement regarder mes pieds ?
    
    L’espace d’une seconde, Ludovic Torec avait cru avoir mal entendu, mais le sourire soudain timide, le visage cramoisi et les yeux baissés de la surveillante démontraient qu’il avait bien interprété ses propos.
    
    — Je trouverais ça vraiment génial.
    — Va fermer la porte à clé alors…
    
    Delphine n’avait pas bougé, se contentant de regarder son étudiant aller jusqu’à la porte, y donner deux tours de clé et revenir vers elle.
    
    Elle sentait son visage en feu et transpirait légèrement.
    
    — J’ai chaud moi… Tu pourrais ouvrir une fenêtre ? Mais tu baisses les stores, surtout.
    
    Une nouvelle fois, elle observa le jeune homme lui obéir et inspira profondément quand il vint s’asseoir sur sa propre table. Deux petits mètres à peine les séparaient. Ludovic lui aussi était en sueur et paraissait tout autant gêné qu’elle.
    
    C’était à dire vraiment un drôle de moment. Personne ne les obligeait à se sentir mal à l’aise. Il suffisait de tout arrêter. Pourtant, Delphine Lassalle n’avait aucune envie d’arrêter. Elle était certes un peu nerveuse et surtout très étonnée d’être aussi excitée. Elle était d’ailleurs bien plus excitée qu’encline au mal être.
    
    — Je crois que nous devrions nous jeter à l’eau très vite, non ?
    — Oui Madame.
    — Alors ?
    
    Un regard timide du jeune homme croisa celui de la surveillante.
    
    — Alors quoi, Madame ?
    
    Delphine lâcha un petit soupir et décroisa ses bras de sa poitrine.
    
    — C’est ...
    ... toi qui diriges, non ?
    — Je dirige ? Je ne comprends pas…
    
    Delphine Lassalle sentit son ventre la brûler en même temps qu’une pointe d’agacement lui faisait contracter les mâchoires.
    
    — Tu me dis ce que tu veux que je fasse… et je le fais. Tu comprends mieux, là ?
    
    En énonçant sa phrase, la surveillante se demanda si elle n’allait pas mettre le feu à toute la pièce. Elle ne s’était jamais sentie aussi honteuse. Pourtant, elle n’avait pas hésité très longtemps avant de balancer à ce jeune type ce qu’elle désirait vraiment.
    
    — Vous vous déboutonnez et vous me montrez vos seins.
    
    Il n’y avait aucun doute sur le fait que son étudiant soit aussi mal à l’aise qu’elle l’était, mais lui non plus n’avait pas flanché. Il avait même été très direct.
    
    Tout le temps qu’elle se dépoitrailla, Delphine n’osa pas regarder en face son jeune voisin. Puis, elle resta à fixer ses seins nus dégagés de leur prison de tissu. Ses grosses pointes brunes étaient dressées et dures comme des éclats de silex. Elle avait amené ses mains en arrière, en appui sur la table, et se contentait de contempler sa poitrine dénudée, incapable d’affronter le regard de Ludovic qui devait se repaître du spectacle.
    
    — J’étais sûr que vous aviez de jolis seins.
    — Pas si jolis que ça…
    — Oh que si, Madame ! Vous ne portez jamais de soutien-gorge ?
    — Si, bien sûr.
    — Pourquoi pas aujourd’hui alors ?
    — Je ne sais pas, Ludovic. Parfois, je n’en mets pas, c’est tout. Rien de calculé ou de prévu. C’est comme ...
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