Un examen très particulier - Histoires de Sexe

Un examen très particulier

... ça…

Un instant de silence lourd inquiéta un peu la surveillante, mais il ne dura pas.

— Vous êtes excitée là, non ?
— Oui.
— Si vous voulez, vous pouvez les toucher.
— Toucher mes seins ?
— Oui. Si vous aimez ça.

Delphine avait caressé ses gros seins et ses paumes passant et repassant sur ses tétons raidis avaient été une véritable torture. Prenant sur sa gêne, elle s’était enhardie à jouer avec les pointes dressées et étonnamment, oser le faire l’avait un peu détendue. Ses doigts pinçaient et étiraient doucement ses bourgeons durs et elle ne pouvait plus cacher ses soupirs.

— Vous êtes très excitée on dirait. J’aime beaucoup vos soupirs. Vous allez jouir ?
— Non. Pas encore, non…
— Mais vous jouirez ?
— C’est possible, oui.
— Continuez à tirer sur vos mamelons Madame. Et vous oserez jouir comme ça devant moi ?
— Oui, je pense. J’ai… j’ai un peu honte, mais ça va passer.
— Moi aussi j’ai un peu honte de vous mater comme ça. Mais j’adorerais que vous jouissiez devant moi.
— Je le ferai alors. Je crois bien que mon excitation sera plus forte que la honte en tout cas.
— Vous m’excitez grave, là ! Je peux faire quelque chose de plus pour vous aider à jouir ?
— Non Ludovic. Tu t’y prends très bien.
— Ben, je ne fais que regarder…
— Oui, mais c’est très excitant pour moi. Et tu me fais dire des choses qui m’excitent encore plus.
— Ils bandent vraiment dur vos tétons.
— Oui. Et toi, Ludovic ? Tu bandes ?
— Oui, Madame.

Les soupirs de Delphine ...

... étaient devenus lourds et elle faillit lâcher un gémissement de plaisir quand son étudiant lui demanda de le regarder dans les yeux.

Les doigts s’immobilisèrent, pinçant deux grosses pointes, et Delphine, le visage brûlant, planta ses yeux marron dans ceux de Ludovic.

— Ce que je vous fais faire vous excite beaucoup ?
— Oui.
— Vous aimez être soumise, Madame ? Je veux dire…
— Je sais ce que tu veux dire. Non, je n’ai jamais été soumise avec un homme.
— Enlevez votre culotte.
— C’est un string.
— Enlevez-le.

Sans lever les yeux vers le jeune homme, Delphine Lassalle se laissa glisser de la table. Elle était maintenant encore plus proche du jeune homme et sentait l’eau de toilette de l’étudiant.

— Vous aimez obéir. Non ?
— Non.
— Vous faites pourtant tout ce que je veux. Moi je trouve que vous êtes très obéissante.
— Oui. C’est vrai que ça m’excite de t’obéir. Je ne sais pas si c’est être soumise, Ludovic. Tu aimes que je t’obéisse comme ça ?
— Vous ne pouvez pas savoir…
— Alors, demande-moi ce que tu veux et nous verrons bien si je suis aussi obéissante que tu le dis.
— Enlevez votre string et donnez-le-moi.

Delphine Lassalle passa ses mains sous sa jupe en s’arrangeant pour ne pas trop la relever. Tout en se contorsionnant avec une lenteur étudiée, elle descendit son string sur ses jambes puis le dégagea de ses pieds. Le string en boule à la main, elle leva les yeux vers Ludovic qui le prit presque délicatement.

Les longs doigts de l’étudiant ...