L'île sauvage - Histoires de Sexe

L'île sauvage

... table.

Aylin soupira, et s’adossa au dossier de son siège, quand le capitaine étira délicatement les pointes durcies de ses seins.

— C’est toi le capitaine, Armando…

Delmaro laissa l’une de ses mains sur la poitrine lourde, et lança l’autre entre les cuisses de sa proie consentante. Les bruissements d’étoffes, et les caresses de sa robe qui se froissait en remontant sur elle, firent frissonner la rouquine. Elle maudit cette fichue parure, et ses longues mains empoignèrent les tissus pour les remonter sur son ventre.

— J’ai tout de suite compris que tu étais différente des autres femmes. Ton allure, tes vêtements d’homme et surtout tes étonnants cheveux roux…
— Ooh…

Aylin ne portait rien sous sa vêture, et une paume chaude s’était installée sur son sexe brûlant.

— Une coupe de cheveux qui en dit long… Pourquoi des cheveux si courts, senõra Temple ?
— C’est une longue histoire…

Les doigts du capitaine s’enfonçant dans son antre firent gémir la voleuse.

— Tu attendais ça avec impatience, dis-moi. Tu es brûlante et toute mouillée ma belle irlandaise.

Aylin remonta l’une de ses mains et la posa sur l’entrejambe du marin.

— Toi, tu es bien dur, capitaine.

Les longs doigts de la rouquine s’attaquèrent aussitôt aux lacets, qui tenaient enfermés ce qu’elle désirait prendre.

— Les poils de cette petite chatte mouillée sont-ils aussi roux que tes cheveux l’Irlandaise ?
— M’mm. Il te suffit de vérifier par toi-même…

Aylin gémissait sous ...

... l’emprise sur son sexe, tout en regardant le membre érigé qu’elle branlait doucement. Une queue droite, raide et turgescente.

— Veux-tu ma bouche capitaine ?

À peine avait-elle lâché sa phrase, que les doigts de Delmaro s’activaient de plus belle. Ils la prenaient maintenant avec plus de force, et surtout plus pleinement.

— Tu es vraiment sans aucune pudeur ma belle irlandaise. Oui, suce-moi vite !

Aylin se tendit, haletante, quand l’homme ajouta un autre doigt pour emplir d’un coup sa grotte détrempée.

— Aah… Approche capitaine et ensuite… Tu lécheras mon fruit roux…
— Je suis sûr que tu as dû toi-même éplucher quelques succulentes lentilles ? Dis-moi tout Aylin Temple.

Dit comme cela, l’on pouvait penser à une insulte envers les femmes aux goûts prononcés pour d’autres femmes. Pourtant, l’Irlandaise ne s’en formalisa pas. Elle avait goûté à deux femmes et avait été très amoureuse de la si belle Églantine.

— Deux ou trois oui… Viens vite que je goûte à ta queue…

Aylin n’avait plus rien connu des plaisirs de la chair, depuis l’incroyable baignade donnée par Adila et Aldo. De longs mois d’abstinence totale, hormis des caresses nocturnes solitaires. La voleuse avait maintenant envie de jouissance, et cet Armando lui plaisait beaucoup. L’Irlandaise bougea et approcha ses lèvres pleines du membre en érection. Oui, elle désirait vraiment cette belle queue. Dans sa bouche d’abord, puis entre ses cuisses ensuite. Elle jouirait très vite, c’était certain.

Delmaro ...