L'île sauvage
Datte: 26/02/2024,
Catégories:
f,
ff,
fbi,
fplusag,
frousses,
bain,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Oral
nopéné,
init,
aventure,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... bouche et un petit trou prêt à être dégusté.
— Tu me feras tout ce que je te fais chérie. D’accord ?
— Oui chérie Aylin.
— Je suis très énervée à te regarder comme ça. Et toi ?
— Tu mouilles trop encore. Ça m’énerve oui.
— Et mon petit trou ? Tu en as envie ?
— Oui, je vais enfoncer mon doigt.
— Deux doigts. J’aime bien. Ta bouche aussi… Dessus. Et ta langue…
— Tu veux que je le mange aussi ?
— Oui. Moi, je vais me régaler avec ton joli petit cul.
— Oui chérie Aylin.
Les deux femmes en terminaient d’une année sur leur île. Ce qui n’avait aucune signification particulière pour la jeune métisse. C’était également huit mois de vie de naufragée pour l’Irlandaise, ce qui avait poussé Aylin à de nombreuses réflexions, à certaines décisions, comme à certains travaux.
Le tannage de peaux avait été difficile à mettre en place. Heureusement, leurs prédécesseurs étaient anglais. Le manuscrit l’était lui, en tout cas. Aylin avait déchiffré assez d’informations, dans ce vieux manuscrit moisi, aux nombreuses pages effacées, pour se décider à se lancer dans cette entreprise. Un traité de tannage. Un défi nécessaire pour la survie de deux femmes. Un défi qui avait coûté cher, aux bocs de cette partie de l’île. Les deux naufragées n’en tuaient d’ailleurs plus aucun depuis. Un petit troupeau de dix-huit bêtes avait été traqué, puis décimé en deux mois. Un véritable gâchis de nourriture, mais il leur fallait de bonnes peaux.
Vanna et Aylin avaient finalement réussi à se ...
... confectionner des peaux tannées. Des cuirs assez corrects pour être portés. Ensuite, elles avaient fabriqué leurs vêtements. Des peaux portées comme des sortes de robes moulant leurs corps. D’autres, confectionnées en braies et en courtes tuniques, d’autres encore, faisant office de capes ou de longs manteaux. Les deux femmes restaient la plupart du temps pieds nus, mais s’étaient fabriqué des sortes de sabots de cuir, assortis de semelles de bois.
Les instincts comme les goûts d’aventurière de l’Irlandaise, l’avaient décidée à reprendre une vie dédiée à une survie, certes inutile sur une île déserte, mais bien souvent nécessaire dans son ancien mode de vie. Comme nécessaire parfois un peu partout dans ce monde difficile, preuve en était de l’abordage de la malheureuse goélette. Vanna tirait maintenant correctement au pistolet, et mieux encore au mousquet. Vanna était habile armée d’un sabre, et se montrait très dangereuse avec ses deux coutelas en mains. Vitesse, souplesse, et vivacité. Aylin était très fière des progrès de sa compagne.
— Tu serais une parfaite voleuse.
— Pour voler qui ?
— Moi. Je suis la femme la plus riche d’Irlande. Et certainement l’une des plus riches d’Europe.
— Moi aussi, je suis riche.
— Tiens donc !
— Je t’ai toi.
— Oh Vanna…
Aylin avait décidé d’être prévoyante. Leur vie était calme, mais l’aventurière savait qu’elle pouvait basculer très vite. La grande rousse et la petite métisse s’étaient donc confectionné une cache supplémentaire. ...