1. La perversion d'Ophélia


    Datte: 22/02/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: descollages, Source: Hds

    ... suce bon Dieu ! rouspéta Gérald, devenu très exigeant. C'est pas compliqué, tu enroules ta langue sur mon gland et tu aspires à fond bordel !
    
    Obéissante aux injonctions, elle s'exécuta. Ses joues se creusèrent. Sa langue s'agitait dans sa bouche remplie de salive épaisse. Au bout d'un moment quelque chose changea. Gérald semblait se crisper de plus en plus, soufflant bruyamment.
    
    – Oh oui... Reste la bouche fermée surtout ! Et avale ! ordonna le bûcheron au bord de l'extase.
    
    Ne pouvant y échapper, elle avala d'un seul trait les salves de sperme déversées au fond de sa gorge. Le goût amer au début, devint très vite délicieux. En petite gourmande, elle suça le gland du plat de la langue comme un chiot affamé, pour ne pas en perdre une goutte.
    
    Puis, le camionneur se retira de sa chatte trempée. Il passa un doigt sur les lèvres fripées de la fente, avant de l'introduire à l'intérieur. Le black prit soin de goûter cyprine mélangée à son foutre. Réitérant l'opération, ce fut au tour d'Ophélia de goûter le mélange des deux jus crémeux.
    
    – Le meilleur moyen de me satisfaire dans les règles, c'est de me nettoyer la bite tu ne crois pas ? proposa le camionneur lorsque la jeune fille se retourna vers lui.
    
    Sans répondre, elle s'accroupit, puis commença une pipe majestueuse. Elle savourait cette verge qui lui avait donné tant de plaisir. Jamais elle n'aurait pu assez le remercier. Le gland gardait encore l'odeur de sa mouille, par moments elle avait l'impression de sucer ...
    ... une femme tellement la fragrance était imprégnée.
    
    Le bourgeon écarlate enfin nettoyé, le camionneur lui tenait le menton en soutenant son regard. Une certaine connivence était née entre ces deux-là. Mais c'était le moment du départ. Tristement, Ophélia se leva pour l'embrasser sur la bouche afin de sceller un baiser d'une délicieuse minute.
    
    Autour, un peu jaloux, les autres commencèrent à s'activer. Le trio embrassa sur les joues la gamine exténuée, puis regagnèrent la Peugeot 309 cachée dans la pénombre.
    
    Jean-Pierre, lui, avait déjà pris sa place au volant de sa BMW feignant de fouiller dans sa boîte pour ne rien trouver de spécial. Ophélia suivit jusqu'au semi-remorque son prince charmant, lui caressant les fesses musclée une dernière fois, avant qu'il ne monte pour de bon dans sa cabine impressionnante, décorée de guirlandes éclairant le portrait d'une femme provocante sur le calendrier Pirelli.
    
    Rebroussant chemin, elle arriva essoufflée au pied de la voiture, regardant tristement, les petits feux rouges rectangulaires du camion, s'en aller dans la nuit d'encre.
    
    – Il y en aura d'autres tu sais... dit Jean-Pierre pour la réconforter. Et puis tu vas rejoindre tes copines à la feria de Bayonne.
    
    – C'est gentil murmura-t-elle tendrement.
    
    Le moteur commençait sérieusement à vrombir, puis la BMW accéléra dangereusement sur l'autoroute à moitié déserte. Au bout d'une vingtaine de minutes, ils finirent par atteindre leur destination. Les fêtards avaient envahi ...