La perversion d'Ophélia
Datte: 22/02/2024,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: descollages, Source: Hds
... Ophélia avait juste le temps. Pas question de faire attendre son chauffeur.
Les terrasses de la place mythique bordelaise étaient remplies de monde, animées par des conversations banales et feutrées de début de soirée. Cet endroit, encadré de veilles bâtisses, donnait un petit air de dolce vita.
Sur place, la jeune fille regarda sa montre, elle était ponctuelle. Mais personne à l'horizon. Ses yeux ne purent s'empêcher de regarder le marchand de glaces Ô sorbet d'amour. N'y résistant plus, elle s'avançait vers la file d'attente préparant sa monnaie.Au bout de cinq minutes interminables, le moment tant attendu.
– Bonjour Mademoiselle, qu'est-ce que je vous sers ? demanda la vendeuse, toute souriante dans sa tenue orange, tenant une cuillère métallique arrondie à la main.
– Je prendrais une au parfum "Fraise bonbon" avec un cône, c'est une tuerie ! répondit Ophélia les yeux étincelants de bonheur.
– 3 euros cinquante s'il vous plaît mademoiselle !
– Merci, bonne soirée !
À peine eut-elle la petite douceur dans les mains, que sa langue commença son petit travail de léchage. Au même moment, en se retournant, elle vit un homme les cheveux grisonnant tourné en rond près de la fontaine où des jets d'eau jaillissaient de la bouche béante de plusieurs statues.
La jeune fille leva la main, en criant " Monsieur, c'est vous pour le trajet pour Bayonne ?...."
Jean-Pierre Dutertre sursauta légèrement et croisa le regard de la jeune fille occupée avec son sorbet, ...
... dégoulinant légèrement sous l'effet de la chaleur. Elle prit la peine de lui serrer la main.
– Excusez-moi, mais j'ai pêché par gourmandise ! Elles sont trop délicieuses ici. Ça vous dérange si je termine, ce serait dommage de tacher les sièges de votre voiture...
– Euh, bonjour... euh non pas du tout... je ne suis pas à cinq minutes près, vous savez, en plus c'est la première fois que j'arrive en retard... bredouilla-t-il les yeux rivés sur les nichons provocants sur le point de déborder du petit haut fleuri.
Très vite, le conducteur sentit une excitation étrange se réveiller doucement au niveau de son pantalon. Regarder cette petite cochonne lécher les coulures du sorbet à la fraise, avec sa langue se tortillant dans tous les sens, laissait place à son imagination débridée.
Presque vers la fin de la dégustation, une coulure ruissela sur l'index d’Ophélia. Elle le plaça dans sa bouche pour le sucer lentement tout en fermant les yeux, laissant échapper un léger cri de plaisir.
– Vous ne voulez pas goûter ? demanda-t-elle spontanément.
Le doigt plongea à nouveau dans le cornet, elle le tendit sans attendre la réponse à Jean-Pierre Dutertre, qui n'eut pas d'autre choix de que de lécher le doigt de sa future passagère. Il sentit une décharge électrique l'envahir, sa queue banda subitement, cognant contre la braguette de son pantalon de costume clair.
– Eh bien ?
– Je ne connaissais pas ce parfum, un pur délice ! répondit-il, fixant intensément les yeux ...