1. La perversion d'Ophélia


    Datte: 22/02/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: descollages, Source: Hds

    ... juste rester un peu tu comprends... proposa humblement le gros lard, triturant sa moustache grisonnante.
    
    La visite surprise du petit groupe apportait encore plus de piment à la situation, comment refuser une telle proposition. Le camionneur était encore plus excité de sentir leur présence, il sentit même sa queue faire un léger soubresaut.
    
    À ce moment précis, la levrette prit des allures de rodéo sauvage. Ophélia se tortillait de toutes ses forces sentant monter un plaisir extrême. Elle secouait la tête de droite à gauche faisant volé ses cheveux mi-longs. Cette fois, c'est son cul puis ses hanches qui donnaient le rythme augmentant de plus en plus.
    
    – Encore plus profond ! J'aime sentir ta grosse paire de couilles claquer contre mes fesses ! cria-t-elle, oubliant déjà les consignes de discrétion.
    
    – Je connais un seul moyen de la faire taire... lança le bûcheron qui rebandait à nouveau, devant les sursauts frénétiques de la petite salope en chaleur. Tu vas me sucer en même temps !
    
    D'un coup, il ferma la portière, puis resta debout le dos plaqué contre la voiture, la queue bien dressée vers le haut. Son mandrin n'avait plus qu'à être dégusté. Gérald joua un peu avec caressant les lèvres de la jeune fille avant de l'enfiler dans la bouche déjà entrouverte.
    
    – Aller suce, et fais ça bien ! Évite de mordre le gland. dit-il lui agrippant fermement sa crinière brune pour la tenir en respect. Ça te plaît de faire la pute hein ?
    
    – Mooonh ! Ohhhh ! Mmmm ! gémit-elle ...
    ... la bouche bien remplie.
    
    Enfin tout le monde put apprécier le silence à nouveau. Chacun pouvait reluquer le cul admirable d'Ophélia qui luisait dans la pénombre. Le curé éclairait par dessous, tant bien que mal, la chatte écartée se faisant ramoner en saccades énergiques : le spectacle était saisissant.
    
    Puis, ce fut l'instant de grâce. Le camionneur envoya un ultime coup de bassin très violent. Serrant sa large mâchoire carrée, le visage déformé, ses yeux se figèrent trois petites secondes.
    
    – Et maintenant, prends mon foutre ! Haaaaah ! dit-il, réprimant un cri étouffé dû à l'orgasme de sa décharge abondante.
    
    À son tour, Ophélia fut prise d'une vague de plénitude ponctuée de jouissances successives. Les jambes en coton, elle manqua de s'écrouler. Jamais elle n'avait connu de telles sensations. La taille énorme du phallus noir, qui l'avait déchiré, y était sûrement pour quelque chose.
    
    Toujours est-il qu'elle devait rester dans cette position pour terminer la fellation de son autre partenaire sur le point lui aussi d'envoyer sa purée de sperme. Le camionneur laissa donc sa verge se dégonfler progressivement dans le vagin aux parois engluées. Il se pencha en avant pour prendre délicatement ses gros seins devenus sensibles avec le tsunami de voluptés.
    
    N'y tenant plus à cause de vilaines crampes au niveau des cuisses, Ophélia décida de cracher sur le bourgeon palpitant, puis branla la bite magnifique pour la stimuler davantage.
    
    – Salope tu triches, suce, allez ...