1. Régénération Dégénérée


    Datte: 21/02/2024, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    ... croisions nous dévisageaient plus facilement, car ils nous remarquaient d'autant plus que la fréquentation était moindre. En réalité, ils ne nous dévisageaient pas, pas réellement, ils nous reluquaient, nos visages les intéressaient moins qu'un sein ou le sexe qui dépassait de ces manteaux indécents. Mais ça ne me gênait plus. Je préférais être reluquée qu'être ignorée. En fait j'étais fière d'être reluquée. J'avais envie de tomber ce manteau et d'avancer nue en leur criant « regardez-moi! Matez la salope ». J'étais en chaleur. Chaude comme l'enfer auquel ma perversité me destinait inéluctablement. Je n'en pouvais plus, à croire que les flammes du diable me dévoraient déjà de l'intérieur. Au détour d'une rue déserte, je coinçai Antoine, je passai la main sous son manteau, je sortis sa bite, palpai ses couilles lourdes de désir, car trop pleines de son besoin d'éjaculation, et, à genoux devant lui, je me mis à le sucer frénétiquement. « Trop envie », marmonnai-je entre deux succions. Il se laissa faire sans protester. Sa semence monta vite, si vite qu'il eut le temps de jouir sur mon visage avant qu'un passant nous surprenne. Un foutre dénonciateur souillait mon visage en de nombreux endroits et s'étendait sur ma chevelure. Un collier de métal aux anneaux sans équivoque autour de mon cou dévoilait mes penchants pervertis. Un manteau crasseux largement défait révélait sans contestation possible mon lourd poitrail de femelle obscène. Le passant sourit et nous souhaita beaucoup ...
    ... de bonheur. J'eus envie de l'embrasser. Au lieu de cela, je soulevai le pan arrière de mon manteau pour lui exhiber mon cul. Je ne sus pas si son regard était encore sur mes fesses à cet instant.
    
    ***
    
    Il était tard, mais il faisait bien jour quand nous poussâmes la porte donnant sur la cour intérieure de l'appartement de la Maitresse de nos Fantasmes. Nous n'avions pas osé jeter nos vêtements dans la rue. Être nus dans la rue, c'est bien en rêve, en fantasme, mais dans la réalité, c'est bien plus difficile et ça nous était impossible. Les poubelles étaient trop loin de la porte d'entrée de l'immeuble. De nuit, nous aurions pu tenter, pas de jour. Pourtant j'en crevais d'envie. Devant la poubelle, je fis un geste pour ôter mon manteau, mais Antoine me retint : « On ne peut pas prendre ce risque! » me dit-il.
    
    Nous entrâmes dans la cour. Nous pouvions jeter les frusques dans les poubelles des particuliers. Il devait y avoir un coin pour celles-ci, puis nous monterions nus jusqu'au second et attendrions. Mais jusqu'à quand? Nous n'avions pas l'heure. Sonner et attendre paraissait la solution. Nous jetâmes nos frusques. Nus, nous montâmes les marches de l'escalier extérieur doucement, redoutant de faire le moindre bruit. Nous étions largement exposés aux fenêtres des appartements donnant sur la cour intérieure. J'étais traversée d'un mélange de peur et de jouissance. Mon corps vibrait autant que les planches de l'escalier craquaient chaque fois que je posais mon pied sur ...
«12...101112...»