1. Régénération Dégénérée


    Datte: 21/02/2024, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    ... de notre appartement, de voiture, nous n'avions rien d'autre que ces inutiles protections.
    
    Il souleva mon manteau pour se rincer l'œil une dernière fois des marques de doigts incrustées dans mes nibards. Il me fit pivoter pour admirer son sperme qui séchait encore sur mon cul nu. Il ajouta que nous n'avions rien à payer. Je fus parcouru d'un frisson de plaisir, j'étais la pute et j'aurais dû payer? N'ayant aucun fric sur moi, je m'imaginais rembourser ma dette en nature! Comment aurais-je fait? Aurais-je dû sucer tous les types présents dans le magasin, brouter toutes les chattes, et, pour finir, lécher tous les culs... Et payer encore une fois pour m'acquitter du plaisir que j'aurais pris à payer ce tribut? Je fantasmais d'être la première pute à devoir payer ses clients pour les faire jouir. « Et tu dois bander », ajouta le vendeur en soulevant le manteau de mon mari. Ce qui était vrai, Antoine bandait comme je ne l'avais plus vu faire depuis longtemps. Une érection bandante. Nous avions toujours le cul à l'air lorsque mon portable sonna. Le SMS était arrivé. Madame Amélie nous disait de nous rendre chez elle. De jeter les frusques qu'on venait de nous donner dans une poubelle de la rue. D'attendre, nus, à genoux, tête baissée, sur le seuil de son appartement jusqu'à qu'elle nous ouvre la porte.
    
    Sans argent, nous étions obligés d'y aller à pied mais pieds nus? Je demandai au vendeur si nous pouvions avoir nos chaussures. Il répondit que ça ne faisait pas partie de ...
    ... ses instructions.
    
    ***
    
    Il ne faisait pas froid, le sol était tiède. Marcher pieds nus n'était pas infaisable de ce point de vue. Mais nous étions deux adultes de plus de quarante ans, et on ne s'attend pas à voir deux adultes âgés marcher pieds nus dans la rue, d'autant plus si des colliers métalliques d'esclaves SM paradent à leur cou de façon provocante et s'ils sont si peu recouverts de manteaux ridicules et indécents que c'en est humiliant. Car ces manteaux nous couvraient mal, nos sexes apparaissaient plus facilement qu'ils ne disparaissaient. Mon manteau étant plus court que celui d'Antoine, mon cul n'était pas en reste et s'affichait en fonction de mes mouvements. Je n'avais qu'une peur, rencontrer des gens connus. Malgré cela ou à cause de tout cela, Antoine bandait (ce qui faisait ressortir sa bite du manteau) et j'étais terriblement excitée. Je mouillais. La mouille se répandait sur mes cuisses, amplifiant mon excitation. Je repensais à la boutique SM. Tout ce qu'il s'y était passé, et tout l'avilissement jouissif que cela avait révélé en moi. J'avais été prise en public, branlée, tétée, j'avais encore des marques sur le corps et du foutre d'un porc sur les fesses. Ces dégénérescences galopaient comme des furies dans tous les coins de ma tête, s'entrechoquant avec mon quotidien, affolant toutes mes certitudes. Pour rien au monde je n'aurais fait machine arrière.
    
    Antoine et moi prenions les petites rues moins fréquentées dès que possible. Mais les gens que nous ...
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