1. Régénération Dégénérée


    Datte: 21/02/2024, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: bymarco_solo, Source: Literotica

    ... une marche. Mes seins étaient gonflés et tendus. Ma vulve aussi, semblant ouverte comme une corolle. Ma vessie tout autant. J'entendais des bruits de voix imaginaires, de pas fantomatiques, de portes qui s'ouvrent qui n'existaient pas. Nous nous agenouillâmes devant la porte de Madame Amélie. Je tendis le bras pour sonner. Je baissai la tête et frissonnai. J'avais la sensation d'être devenue hypersensible à l'environnement. Je sursautai à chaque craquement, à chaque frémissement de l'air. Mélangé à ce même frisson apeuré, mon plaisir était immense, indicible. La pointe de mes tétons me semblait être devenues des pointes d'acier. Je vis qu'Antoine bandait si fort que sa bite était collée contre son ventre. J'eus envie de me positionner en levrette, de lui tendre un cul aguicheur et qu'il me saute, qu'il me prenne brutalement comme une bête, comme une chienne, comme sa chienne... mais nous n'aurions pas respecté les directives. Un sentiment que je n'avais plus connu depuis des décennies me parcourait des pieds à la tête et n'arrêtait pas son va-et-vient permanent, explorant chaque point érotique sensible, chaque zone érogène de mon corps. Je me sentais revivre. Je ne portais plus que ce collier d'esclave comme unique vêtement ; seul le bon plaisir d'une dominatrice dont je ne savais presque rien pouvait m'en délivrer et seul mon désir avait pu me l'imposer. Je me sentais plus que nue, vraiment dépouillée de tout, extrêmement fragile et pourtant prête à être emportée par une ...
    ... jouissance interminable.
    
    Je compris qu'être dépourvue de tout me rendait tout ce que j'avais perdu.
    
    J'étais au bord de l'apoplexie.
    
    ***
    
    Un bruit de porte qui s'ouvre, bien réel, puis de pas dans les escaliers cassa cette sensation de plénitude fantasmagorique. J'avais peur d'être surprise bien qu'être surprise ainsi m'attirait au plus haut point. J'avais envie, mais j'avais peur comme lorsqu'on monte sur un manège fou de fête foraine. Cette peur était extraordinairement excitante. Je ne pouvais plus contrôler ma vessie. Un liquide chaud et doux coula le long de mes cuisses puis sur mes genoux. Je cherchai à me retenir, mais plus j'essayais moins j'y parvenais. Au final, j'abandonnai, je me relâchais totalement. Mon esprit éprouva une jouissance infinie, non pas de pisser, mais de l'acte de me laisser aller à pisser sur ce pas-de-porte, de pouvoir être vue, et peut-être punie pour cela. Le déluge coula abondamment sur mes cuisses puis sur le sol, inondant mes jambes et mes pieds. Je pissais sans contrainte et jusqu'à la dernière goutte sur le pas-de-porte de Madame Amélie.
    
    J'étais incapable de dire combien de temps s'était écoulé depuis que j'avais appuyé sur le bouton de la sonnette. Madame ouvrit enfin la porte, elle constata l'immense flaque dont j'avais orné son pas-de-porte. Elle fit entrer Antoine et me laissa poireauter dans ma pisse. Un long moment. Je tremblais comme une feuille lorsque la porte s'ouvrit à nouveau. Madame me plia en deux en appuyant sur ma ...