1. Petit jeu qualitatif


    Datte: 10/07/2019, Catégories: fh, campagne, Collègues / Travail amour, fsoumise, hdomine, Masturbation Oral fdanus, jouet, attache, glaçon, fouetfesse, confession, fsoumisah, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... En regardant mieux, on dirait même qu’il y a des phares derrière cette espèce de petit bois. Je me tourne vers Damien :
    
    — Nous sommes où ? On dirait qu’on est tout près d’une grande route…
    — Vous ne croyez pas si bien dire, nous sommes juste à côté de l’autoroute.
    — De l’autoroute !
    — Plus précisément de l’aire de repos de Croisième-Lez-Urban, et là-bas, c’est le fond du parking, avec ses coins repas et ses toilettes.
    
    Je commence à m’inquiéter, cette fois-ci :
    
    — Vous avez quoi dans l’idée ?
    
    Mais il ne me répond pas, car il est déjà parti ouvrir le coffre pour aller chercher dedans quelque chose. Puis, après l’avoir refermé, toujours aussi calme, il revient vers moi. Je repose ma question :
    
    — Vous avez quoi dans l’idée ?
    — Ôte tout, Sabiope, sauf tes bas.
    
    Ah, on dirait que nous sommes entrés dans le jeu… Obéissante, je commence par mon manteau :
    
    — Bien, Maître.
    — Tout, sauf tes bas autofixants, tu seras très sexy avec. Bien sûr, tu gardes tes chaussures, ça va de soi !
    — Oui, Maître.
    
    Peu après, je suis quasi-nue, devant mon Maître. Il s’approche de moi, me contourne et me passe un collier autour du cou. Puis repassant par-devant, il fixe une chaîne à l’anneau. Me voici devenue, en quelque sorte, la chienne de mon Maître !
    
    Puis, sans rien dire, il prend le bout de la laisse métallique et m’entraîne derrière lui, vers ces lointaines lumières, sur le petit chemin de terre. Il avance d’un pas décidé, et moi, je trottine derrière lui, pas très ...
    ... rassurée, mais follement excitée !
    
    Les lumières se rapprochent, je frissonne de plus en plus, et pas à cause du froid car il fait très bon cette nuit. Soudain, alors que nous sommes presque arrivés, mon Maître s’arrête, s’approche d’un arbre et accroche ma laisse à une branche.
    
    — Plaque-toi contre le tronc.
    
    Docile comme je me dois de l’être, j’obéis, me demandant bien le pourquoi de cet ordre. J’ai la réponse quelques secondes plus tard quand une branche s’abat sur mes fesses. Surprise, je pousse un petit cri. Mon tourmenteur s’explique :
    
    — Ton cul était décidément trop blanc. Avec quelques couleurs en plus, ce sera mieux !
    — Ce n’était pas prévu ! Et je n’ai pas fait de faute !
    — Qui m’a demandé par mail de grimper d’un crantage ?
    — Euh… c’est moi, Maître…
    
    Un autre coup zèbre mes fesses. Je sursaute à nouveau, bien que le coup n’ait pas été trop violent, ce n’est pas trop le style de Damien, mais je suis sûre que mes fesses rougissent déjà un peu. Il continue ses explications :
    
    — Un Maître n’a pas besoin de justificatif : s’il veut sévir, il sévit à sa guise.
    — Mais c’est pas juste que je sois punie, je n’ai rien fait !
    — Qui te parle de punir ? J’ai parlé de sévir, ce qui n’est pas la même chose…
    — Ah bon ?
    — Punir sous-entend en effet une bêtise à corriger. Ce qui n’est pas le cas de sévir. Et ne te plains pas, j’aurais pu utiliser des orties !
    — Merci, Maître…
    — Voilà qui est mieux.
    
    Un troisième coup, un peu plus fort cette fois, cingle mes ...