Petit jeu qualitatif
Datte: 10/07/2019,
Catégories:
fh,
campagne,
Collègues / Travail
amour,
fsoumise,
hdomine,
Masturbation
Oral
fdanus,
jouet,
attache,
glaçon,
fouetfesse,
confession,
fsoumisah,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... mal comme ça ! Je demande :
— Mais c’est une simple baguette, pourquoi ça fait si mal ?
— Regarde au bout…
Je tourne un peu ma tête et je vois comme une fine ficelle au bout de la baguette, ficelle qui s’achève par un nœud.
— Ce n’est quand même pas cette ficelle qui fait cet effet-là ?
— Si, le nœud aide beaucoup. Tout est dans le maniement.
— Ça, je veux bien vous croire, Maître !
— Alors, toujours sept coups ?
— Sept, Maître !
— Ok…
Un ! Ça cuit une fois de plus !
Deux ! Je frémis sous la morsure !
Trois ! Je serre les dents, me traitant de maso finie !
Quatre ! Quelle conne, je suis ! Si j’avais dit quatre, ce serait enfin terminé !
Cinq ! Ça devient intenable !
Six ! Tiens ? Ça fait nettement moins mal…
Sept ! Une caresse !
Les fesses brûlantes toujours à l’air, je soupire un grand coup, c’est enfin fini ! Mais je ne peux m’empêcher de dire d’une petite voix :
— Vous n’avez pas été jusqu’au bout, Maître !
— Et tu es assez maso pour me le signaler ?
— Pas maso, Maître, pragmatique !
— J’ai décidé que c’était bon, comme ça. Et on ne discute pas la volonté de son Maître !
— Bien, Maître !
Le cul toujours en buse, je me sens un peu idiote, alors je demande :
— Je reste comme ça, Maître ?
— Oui, tu restes encore comme ça un peu ! Et ne bouge pas !
Soudain quelque chose de froid et de gluant s’étale sur mes fesses, les apaisant aussitôt. Ça fait beaucoup de bien !
— C’est quoi, Maître ?
— Un baume prévu pour ce ...
... genre de chose.
— C’est efficace !
— J’espère bien !
La position n’est pas tellement terrible, mais je me fais câliner les fesses par mon Maître ! Et c’est très agréable ! Je resterais toute une nuit à me faire caresser le popotin de la sorte, voire même m’endormir comme ça !
— Tu peux te relever, c’est bon.
Dommage, c’est déjà fini ? Tandis que je me relève, Damien se lave les mains dans la cuisine. Pour me dégourdir les jambes, je fais le tour du salon. Quand il revient, il dit :
— J’aime te voir en bas, ça fait un sérieux contraste entre la blancheur de ta peau et le noir de tes bas.
— Et avec mes talons, ça fait aussi un peu pute, non ?
— Je reconnais que… Mais ça te va bien !
— Merci, Maître.
Il s’installe cette fois-ci dans le canapé :
— Viens, ma pute, t’installer sur mes genoux, comme si je devais te donner une fessée !
— Encore ? Vous ne croyez pas que mon cul n’en a pas eu assez ?
— Je t’ai dit de venir ! Et j’ai dit aussi : comme si je devais te donner la fessée.
Dodelinant de la tête, je souffle :
— Oui, Maître.
Et je pose mon ventre sur ses genoux, m’attendant au pire, résignée. Subitement, j’entends :
— Écarte un peu plus les jambes… encore… c’est bon, ça ira.
— Euh, oui, Maître.
Je me demande bien ce qu’il va me faire subir, cette fois-ci. Le baume fait son effet, mais le souvenir des morsures de cette cruelle ficelle reste bien présent ! Soudain, je sens une main qui se glisse entre mes cuisses, puis un doigt qui s’insinue ...