1. Nutella


    Datte: 17/02/2024, Catégories: fh, inconnu, magasin, Oral préservati, pénétratio, portrait, occasion, Auteur: Amarcord, Source: Revebebe

    ... rafraîchie par les deux fenêtres de toit grandes ouvertes. Dehors, un voisin tondait son gazon, mais cet agaçant bourdonnement était presque couvert par les pulsations sourdes qui battaient dans ma poitrine.
    
    Elle a fait passer l’encolure du petit débardeur au-dessus de sa tête, j’ai libéré l’agrafe, délicatement fait coulisser les fines bretelles sur ses épaules, elle s’est instinctivement caché les seins de ses bras, et ce bref réflexe de pudeur là était à la fois inattendu et merveilleux. C’est là que je me suis collé contre elle pour l’embrasser, tout en goûtant le contact de sa poitrine contre la mienne, et je l’ai trouvée réceptive. De tous les actes qu’on pose pendant l’amour, n’est-ce pas le plus impudique, le plus engagé, le plus absolu ? Nos lèvres se cherchaient, se trouvaient, se happaient, s’échappaient pour mieux revenir, et puis ce furent nos langues, et bientôt nos bras, nos mains, nos corps tout entiers. Ma queue s’est raidie, ses mains dénouaient ma ceinture, et c’est bientôt à l’aveugle qu’elle redécouvrit la sensation ferme d’un sexe d’homme palpitant sous ses doigts. Elle me caressait avec plus d’audace, elle a frémi quand ma main a parcouru son ventre, déboutonné le petit short qui s’effondra, avant de s’enhardir lentement sous l’élastique.
    
    Elle me freina, elle ne voulait pas tout de suite, et je n’en fus pas déçu, il nous restait tout le temps, il me resterait celui d’aller au cœur de son aventure, une énigme à résoudre, un trésor à découvrir. ...
    ... Nous avons basculé sur le drap, parfumé à la lavande, comme un souvenir d’enfance.
    
    J’aurais pu lui dire que je la trouvais belle et émouvante, que j’adorais ses seins, leur taille raisonnable, leur forme légèrement en poire, leurs larges aréoles, c’était ceux d’une femme et pas ceux d’une image retouchée sous Photoshop. J’aurais pu lui dire que sa peau était douce et qu’elle sentait bon, que tout m’emportait, le rythme de son souffle, la courbe de son cul, la forme de ses cuisses un peu maigres. Mais à quoi bon le lui dire : y croirait-elle ? Je craignais qu’elle ne soit de ces filles inconscientes de leur grâce et si inquiètes d’être imparfaites, incapables de lire le désir brûlant d’un homme dans un regard, dans le ballet de sa main, dans l’avidité de sa bouche, dans la raideur de sa queue. Rien de tout cela ne leur suffisait, même au moment de tout oublier, elles se retenaient un peu en se reprochant encore des hanches un peu larges, des chevilles pas assez fines, des seins trop lourds ou trop plats, une coquetterie dans l’œil, une trace de cellulite ou un nez un peu busqué, sans jamais comprendre que ça aussi, chez elles, on l’aimait, ça surtout peut-être, ce qui les rendait à la fois si uniques, vulnérables et désirables.
    
    Mes lèvres se taisaient, elles avaient mieux à faire, elles se posaient sur sa peau, elles léchaient ses aisselles, elles accablaient ses tétons de caresses lentes et de suçons appuyés, elles valaient bien plus de dix doigts avec leur appétit vorace, ...
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