Traductrice
Datte: 14/02/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
fdomine,
Oral
préservati,
piquepince,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... dis-le ! Dis-lui d’arrêter. Dis-lui que tu ne veux plus ! Ma raison me hurle de le faire. Mais rien. Je ne fais rien. Si, plutôt, celle que je ne connais pas et qui prend ma place, décide de regarder. Oui, surtout ne pas fermer les yeux.
Je vois passer le monstre, le gland rose et baveux, champignon dont le pied suit, avance, avance, tige sans fin qui fraye son chemin dans ma gorge. Je pleure mais m’oblige à conserver les yeux ouverts. Les couilles passent, ballons gonflés qui tendent la peau. Elles m’aveuglent alors que les mains me bloquent les mâchoires et poussent encore plus pour gagner quelques millimètres. Son petit trou. Oui, je vois son trou du cul, œillet à peine plus sombre que la peau autour, à un centimètre de mes yeux
Chemin inverse. Reflux de la marée qui m’a envahie. La bave m’aveugle à nouveau. Je respire, déglutit, avale, crache, tousse. Un peu moins, peut-être que les premières fois.
— Eh bien voilà. C’est mieux, beaucoup mieux. C’est même pas mal pour une débutante. Mais ta bouche ne ment pas, tu es faite pour les pipes. Quel malheur pour toi et pour lui, qu’Antoine n’ait pas su dépasser ton refus ! Je sens qu’on va pouvoir tirer quelque chose de toi.
Dire que je prends sa remarque comme un compliment, c’est un peu exagéré. Mais au moins, il ne me ridiculise pas. Il disparaît de mon champ de vision, mais ses mains tracent un chemin le long de mon corps pour venir sur mes cuisses. C’est un faible frottement mais c’est celui de ma petite ...
... culotte, dernier rempart de ce qui reste de ma vertu, qui passe mes cuisses, mes jambes, mes mollets. Et ce sont justement mes mollets qu’il saisit à pleine main pour soulever mes jambes et les écarter. En soulevant la tête j’ai la vision de mes seins, de mes tétons et juste un peu plus loin, de ces deux jambes, les miennes qui font un grand V ou…
Il se penche. Son visage est entre mes cuisses, dans la base du V que je ne lui refuse pas et…
— Oh !
Je ne peux retenir un cri lorsque je sens sa respiration, ses lèvres et sa langue qui glissent le long de ma fente.
Ma tête est trop lourde, je bascule en arrière, je ne vois plus, je ne peux que deviner et sentir.
C’est délicieux, doux, attentionné. Il me caresse d’une façon délicate. C’est bon. C’est un autre homme que celui qui me « forçait » la bouche. Même les doigts qu’il pousse dans ma fente ne sont que douceur, animés de mouvements lents ou rapides, complices des lèvres qui aspirent mon clitoris et le sucent comme une petite bite
Je gronde. Je gémis. Il n’a plus besoin de me tenir les jambes, je le fais de moi-même. Si je pouvais, je pousserais mon ventre vers son visage, que sa langue avance encore plus dans mon vagin, que ses doigts….
— Ahhhh.
Je jouis. Il ne peut que sentir mon jus qui coule, mais il ne recule pas. Au contraire, il le lape, le recueille, le déguste.
Mais qui est-il ? Quel homme est Damien ? Si directif, presque violent, et puis un pourvoyeur de plaisir que toutes les femmes ...