L'infidélité d'Ophélie
Datte: 11/02/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
noculotte,
odeurs,
pénétratio,
fsodo,
diffage,
Auteur: Rincop, Source: Revebebe
... un peu effréné.
— Plus fort, et fais-moi mal !
J’accentue encore mes mouvements puis la retourne à quatre pattes et poursuis en levrette. Au bout de cinq minutes, elle se retire.
— Encule-moi à sec comme une chienne et fais-moi encore plus mal.
Sans réfléchir, je rentre d’un coup jusqu’au fond, elle pousse un grand cri, mais tout de suite ajoute :
— Je t’ai dit de me faire mal, fais-moi mal sur tout le corps, lacère-moi le dos.
Tout en continuant à la sodomiser sans ménagement, je lui griffe le dos. Puis je prends ses mamelons entre mes ongles et lui tire violemment sur les seins.
— Oh oui, continue.
Je passe alors mes mains entre ses cuisses et lui griffe l’intérieur des cuisses, puis le sexe, et pour finir, son clitoris.
— Aaaah, tu me fais trop mal !
Juste à ce moment, je me vide en elle et m’écroule sur son dos. Nous restons ainsi de longues minutes, moi toujours en elle.
— Merci, mon amour, je n’étais pas très fière de moi, mais maintenant cela va mieux. Demain, je serai plus sage…
Et nous nous endormons.
Le lendemain, je suis réveillé par un réveil, je regarde l’heure, six heures !
— Lève-toi vite, aujourd’hui nous commençons à huit heures.
— J’arrive !
Petit-déjeuner rapide, sans un mot, je suis un peu dans le brouillard.
— Tu viens prendre la douche avec moi ?
— Si tu veux.
Je me rends compte alors que je n’y suis pas allé de « main morte », son corps est parcouru de griffures, certaines un peu sanguinolentes, même ...
... au ventre, et pourtant je ne me souvenais pas de l’avoir griffée là. Je la savonne doucement.
— Excuse-moi de t’avoir mise dans cet état.
— Non, c’est moi qui te l’ai demandé et je le méritais bien. J’ai surtout mal au cul, et pour m’asseoir cela va être délicat…
— Excuse-moi encore.
Elle s’habille ensuite, avec la même tenue que la veille, mais cette fois-ci elle met une culotte. Je la conduis sur son lieu de formation.
— Bonne journée, ma chérie.
— Bonne journée à toi aussi, aujourd’hui je vais être sage.
En rentrant, je me recouche, six heures ce n’est vraiment plus dans mes habitudes. Je passe le reste de la journée en jardinage. Ophélie rentre vers 18 h 30, elle a l’air un peu fatiguée.
— Grosse journée, quatre ateliers dans la même journée. Lors de l’un d’eux j’étais avec le directeur ressources humaines, échanges intéressants sur le métier, nos façons de faire et les solutions pour gérer les crises. Tout naturellement, nous avons déjeuné ensemble, il s’est montré très prévenant, et m’a même pris la main un moment, comme si de rien n’était.
— Tu avances dans tes projets à ce que je vois.
— On peut dire ça comme ça.
Au moment d’aller se coucher.
— Chacun dans sa chambre cette nuit, j’ai vraiment besoin de bien dormir, et demain c’est encore à huit heures.
— Je comprends, viens me réveiller.
— Entendu, bonne nuit, Papy.
— Bonne nuit, ma fille.
Réveil à nouveau difficile. Ophélie s’habille d’une longue robe cintrée à la taille qui s’arrête à ...