1. L'infidélité d'Ophélie


    Datte: 11/02/2024, Catégories: fh, hplusag, noculotte, odeurs, pénétratio, fsodo, diffage, Auteur: Rincop, Source: Revebebe

    ... quelques dentelles du premier, puis les bas avec le porte-jarretelles. Elle s’allonge sur le dos.
    
    — Fais-moi un cunnilingus dont tu as le secret, tu as dix minutes pour me faire jouir. Après je dois partir.
    
    Je ne me le fais pas dire deux fois et me mets à l’œuvre. Rapidement elle m’arrête.
    
    — Merci, c’était très bien, elle regarde son téléphone, et en huit minutes trente !
    
    Elle enfile alors sa jupe.
    
    — Tu ne mets pas de culotte ?
    — Non, tenue spéciale travail ! J’ai repéré sur la liste des participants quelques personnes qui pourraient être intéressantes. Ce sont des hommes. J’espère me faciliter les choses pour les aborder, avec mes effluves féminins. Pas de déodorant non plus, si mes aisselles sentent trop je pourrai toujours en mettre. Et puis ça, dit-elle en mettant une goutte de parfum derrière chaque oreille. Tu m’emmènes maintenant ?
    
    En remontant dans la voiture, je me rendis compte qu’elle était envahie par l’odeur d’Ophélie. Cela me fit bander. Elle sait ce qu’elle veut, pensais-je en moi-même. Je passais la journée à vaquer à mes occupations et l’imaginais de temps à autre dans ses œuvres.
    
    Le soir pendant le dîner, elle me raconte sa journée :
    
    — Pendant l’accueil café j’ai pu aborder le directeur des ressources humaines d’une grosse société de l’agglomération tourangelle, puis le directeur financier d’une autre située hors département, et un peu par hasard un ingénieur informatique. Après les ateliers de la matinée, nous nous sommes tout ...
    ... naturellement retrouvés à la même table avec deux autres participantes. Je me suis retrouvée assise à côté du directeur des ressources humaines, celui qui m’intéresse le plus. Nous avons parlé boulot, c’est aussi le mien, mais à un échelon en dessous. Je dois avouer que j’ai aussi un peu usé de mes charmes. Un moment, j’ai même remonté ma jupe juste ce qu’il faut pour qu’il puisse apercevoir les attaches du porte-jarretelles. Il ne s’est pas gêné pour se rincer l’œil, le cochon, mais je ne peux pas lui en vouloir. J’ai également eu des échanges professionnels intéressants avec le directeur financier.
    — Hé bé, quand tu veux quelque chose…
    — Oui, j’aspire à un poste plus élevé.
    — Tu t’en donnes les moyens…
    — Disons que j’essaye de saisir les occasions.
    
    Nous en restons là pour sa journée, passons quelques moments au salon à parler de tout et de rien et vers dix heures, elle décide d’aller se coucher.
    
    — Tu me rejoins dans dix minutes ?
    — Entendu, ma chérie.
    
    J’attends qu’elle en ait fini dans la salle de bain pour monter à mon tour faire ma toilette. Quand j’entre dans la chambre, je la vois allongée sur le dos, en pleine lumière, avec les quatre membres en croix.
    
    — Baise-moi, baise-moi sauvagement et brutalement comme la salope que j’ai été aujourd’hui.
    — Tu es sûre ?
    — Oui, baise-moi, je te dis.
    
    Je reste debout, je l’attire sur le bord du lit, je la saisis sous les cuisses et la pénètre d’un coup. Elle pousse un petit cri. Tout de suite, je pars dans un rythme ...
«12...6789»