Tonton Cristobal
Datte: 09/02/2024,
Catégories:
fh,
ffh,
fffh,
fplusag,
couleurs,
frousses,
rousseurs,
voisins,
poilu(e)s,
fépilée,
coiffure,
magasin,
noculotte,
strip,
caresses,
entreseins,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
Humour
fantastiqu,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... satinés.
Dans la foulée, la devanture sera refaite et le magasin rénové.
Dans la joie et la bonne humeur, nous signons les contrats liant d’un côté la société Philippe Duvel-Mercier, d’un autre côté Mesdemoiselles Béatrice Lendevain et Blandine Pouliguen, commerçantes, puis un autre me liant avec mademoiselle Sandrine Quillan, coiffeuse. Agathe Aligôt rayonne de joie elle aussi, c’est un de ses plus gros dossiers depuis la reprise de l’étude de son père.
De les voir rire, ouvrir une bouteille de champagne pour célébrer l’évènement, se congratuler et me remercier, me donnent des frissons. Une goutte de transpiration descend de mon front et longe l’aile de mon nez. Je pâlis et m’assieds. Je sens poindre une certaine tension sous l’élastique de mon slip.
De les voir heureuses me retourne les sangs et me met la tringle à l’équerre.
Sandrine se rend vite compte de mon état.
— Vite, il nous fait une rechute !
Aussitôt, toute une organisation se met en place. Sandrine descend mon pantalon et mon caleçon, Blandine et Béatrice installent les fauteuils face à la baie vitrée. Pendant ce temps, Agathe interpelle sa secrétaire :
— Anne-Sophie, veuillez annuler tous mes rendez-vous dans les deux… non, les trois prochaines heures, ne me passez plus d’appels, nous ne voulons être dérangés sous aucun prétexte.
— Bien maître.
— J’oubliais, faites-nous porter quelques serviettes de toilette et de la glace à la fraise.
La pauvre secrétaire, toute troublée, ...
... opine du chef. Aussitôt la porte refermée, les jupes, robes, pantalons, chemisiers et autres t-shirts volent à travers la pièce et Blandine m’embouche le tromblon. Seule Agathe reste vêtue, en attendant son assistante.
Et la même scène se reproduit comme précédemment. À part que cette fois, j’en ai quatre autour de moi, à s’extasier, me lécher, me sucer. Quatre fois je donne de ma personne, pour me retrouver dans le même état, c’est-à-dire raide comme la justice.
Agenouillées côte à côte dans les fauteuils, elles m’offrent maintenant la vision affriolante de quatre paires de fesses rondes, je me fais la remarque qu’une paire de fesses ressemble à un cœur à l’envers, c’est beau et émouvant. Les quatre petits coins de paradis, velus ou non, qui les agrémentent ne font rien pour me calmer.
Je me fais l’effet d’un carillonneur muni d’un battant en face de quatre superbes cloches prêtes à sonner. Je m’introduis successivement dans ces jolis réceptacles, tirant un son différent à chaque intromission, me découvrant une âme de compositeur. À l’alto de Blandine ou Béatrice répond le soprano de Sandrine, et le mezzo-soprano d’Agathe.
Ce ne sont que cris de plaisir à répétition,concerto pour clarinette et Viole d’amour.
Je vais de l’une à l’autre, pas de jalouses, les emmène plusieurs fois au septième ciel, tout en restant moi-même imperturbable, raide comme la justice. Heureusement que nous avions revêtu les fauteuils de serviettes, car ces damoiselles dégoulinent de la ...