1. Matrone et Domina : Tullia, une patricienne hypersexuelle dans la Rome impériale : (37) « Terreur et exil »


    Datte: 07/02/2024, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... trentaine de kilomètres. Il faut donc deux mois, escales comprises, au « Horus » pour parvenir à Alexandrie, débarquer sa cargaison et charger le précieux blé destiné à nourrir la plèbe romaine. Les dimensions et l’inconfort du bateau exigent des étapes, qui permettent de s’approvisionner en eau et en nourriture, et de décharger et de charger des marchandises.
    
    Non seulement Cossus n’aime pas prendre des passagers à son bord, mais encore moins des femmes, surtout quand elles sont aussi attrayantes que celle-ci. Nous sommes en pleine été, en Méditerranée, et la jolie matrone ne peut rester cantonnée dans l’espace exigu que Cossus lui a attribué et sans grande intimité, autre qu’un rideau. Elle ne peut non plus faire autrement, avec cette chaleur insupportable que de porter une tenue légère, une tunique, qui ne cache guère ses formes. Autant dire que l’équipage de Cossus, et le capitaine lui-même, sont en rut !
    
    Cossus savait pourquoi il ne voulait pas d’une telle passagère. Il commence à craindre que l’excitation de son équipage ne se termine en mutinerie.C’est Tullia qui va apporter la solution, car elle aussi est en manque. Elle sent d’instinct le désir de tous ces mâles et ça lui fait envie également. La nuit d’amour passée avec Titus, la veille de son départ, l’a fait sortir de sa dépression et a réveillé sa terrible libido. Le voyage s’annonce long et Tullia entend bien le mettre à profit pour son plus grand plaisir.
    
    Cossus aura la surprise, trois jours après le ...
    ... départ de Puteoli, de voir sa passagère entrer dans son espace réservé. Elle est entièrement nue. C’est naturellement par celui qui est le seul maître à bord après Neptune que Tullia compte commencer. Elle affiche clairement ses envies :
    
    • J’ai vu comment tu me regardes depuis notre départ de Puteoli, Manius Helvius. J’en ai envie, moi aussi ! Baise-moi !
    
    Cossus est issu de la plèbe du Trastevere, un des quartiers, avec Suburre, le plus mal famé de Rome. Pour sortir de la misère, Cossus s’était engagé dans la marine impériale. Travailleur acharné, compétent, il a fait une belle carrière sur la base de Misène, avant de se mettre à son compte. Il a fait fortune dans le cadre du commerce maritime entre l’Egypte et Rome. Son nouveau navire, qu’il a baptisé le « Horus », est son orgueil. Mais jamais Cossus n’imaginait qu’une jolie patricienne s’offre à lui ! Cossus pense soudain que Tigellin n’a rien dit à ce sujet. Il a seulement demandé que la passagère parvienne en Egypte saine et sauve. Après tout, c’est elle qui est demandeuse !
    
    • Tu attends quoi, Cossus ? Je ne te plais pas ?
    
    • Bien entendu, salope, que je vais m’occuper de toi, dit Cossus en se mettant nu à son tour.
    
    Le vigoureux capitaine, buriné par ses années de navigation, exhibe des muscles et une virilité qui accroissent l’excitation de Tullia.
    
    • Mets-toi, à genoux, Meretrix ! Tu vas d’abord me sucer un peu !
    
    Tullia s’exécute volontiers et va mettre toute sa science dans cette fellation. Cossus lui ...
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