Mon oncle Paul
Datte: 04/02/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
couple,
oncletante,
copains,
cinéma,
amour,
fsoumise,
hdomine,
caresses,
intermast,
Oral
amouroman,
diffage,
Auteur: Carla.moore – sergefra, Source: Revebebe
... ainsi pour m’attirer dans sa chambre, je souris à cette pensée stupide ! Pour qui je me prends, un jeune premier ? Elle ne l’a pas fermée par discrétion cette nuit ! Ou tout simplement, Chris, en bon papa, a vérifié qu’elle était bien rentrée. Je me dis que je ne risque rien d’aller jeter un œil. La porte est assez entrouverte pour que je la voie allongée sur le ventre, le lit même pas défait. Elle ne porte qu’un string noir. Ses fesses tournées vers moi ! Quel cul ! À damner un saint : rond, rebondi, les hanches étroites, la chair ferme, pas une once de superflu. Quel régal ! J’ai du mal à m’en détacher mais il ne faudrait pas que Chris ou Lucie se réveillent et me surprennent dans cette position de voyeur, dans cet état. Je dois sortir vite ! Je prends les clés sur la porte et je descends :« Paris s’éveille, les cafés nettoient leurs glaces, les boulangers font des bâtards… »
Je reviens, chocolatines, croissants, pains aux raisins, journal. Je suis boulimique d’achats pour ce petit-déj comme pour oublier ma contemplation libidineuse, à moins que ce soit elle qui m’ait mis en appétit. Je n’arrive pas à me défaire de l’image de son cul si parfaitement érotique. Que j’aurais eu envie de saisir ce mince morceau d’étoffe noire, et le glisser le long de ses jambes pour admirer son abricot ! Ses jambes hier soir, ses seins cette nuit et ce matin, ses fesses ! Son corps presque entièrement nu, façon puzzle. Mes pensées vagabondent dans des contrées délicieuses mais ...
... inaccessibles et je bande à nouveau… Quinqua, mais pas trop
Je prépare le café, je presse des oranges, je vais prendre une douche. Rien ne me calme vraiment. Je me couvre du kimono de Chris pour revenir dans la partie cuisine. Quelques instants après, mon ami me rejoint en t-shirt et caleçon, il est suivi un peu plus tard de notre Lucie, les cheveux en bataille, enveloppée d’un peignoir qui laisse entrevoir quand elle se penche pour nous embrasser son téton gauche effectivement orné d’un coquin piercing.
Je n’en crois pas mes yeux et la fixe bouche bée, le café à la main. Chris s’aperçoit aussi de la tenue de sa fille.
— Tu devrais refermer mieux ton peignoir ! Paul est un ami mais c’est aussi un homme ! Tu as de bien petits yeux fatigués, ma belle.
— Pourtant j’étais plus regardée que regardante hier soir ! rit-elle.
Je m’aperçois que Lucie me sourit avec ironie. Serait-ce une pique pour moi ? S’est-elle aperçue que je feignais de dormir ?
Je lui présente un verre pour changer de conversation :
— Tiens, bois un jus d’orange pressé avec amour.
À ce dernier mot qui vient dans ma bouche comme un lapsus, je vois rougir Lucie. Chris n’a pas réagi, il est loin d’imaginer cette complicité naissante entre sa fille et moi.
— Tu ne devineras jamais, Lucie, ce qui nous est arrivé avec Paul. Nous sommes allés au restaurant et Paul est revenu avec le numéro d’une Norvégienne, d’au moins 10 ans de moins que lui ! Il n’a pas changé d’un poil, toujours l’effet« latin lover » ...