1. Mon oncle Paul


    Datte: 04/02/2024, Catégories: fh, hplusag, couple, oncletante, copains, cinéma, amour, fsoumise, hdomine, caresses, intermast, Oral amouroman, diffage, Auteur: Carla.moore – sergefra, Source: Revebebe

    ... me trouves barbu ?
    
    Depuis toute petite, je l’ai toujours appelée ainsi, elle aimait beaucoup.
    
    Je l’attrape amicalement et lui frotte ma barbe sur les joues, en riant. Elle s’échappe.
    
    — Très sexy, tu dois faire des ravages…
    — Mais, Silou, c’était quand j’étais petite ! Maintenant, tu peux m’appeler Lucie comme tout le monde.
    
    Elle me rend la monnaie de ma pièce, l’effrontée, non seulement belle à croquer, ou à lécher(je préfère), mais du caractère comme je les aime.
    
    — Je m’en vais, soyez sages, les vieux !
    
    La porte claque.
    
    Soirée sympa, on est sorti dîner en terrasse, il fait encore chaud. Un peu de dragouille avec nos voisines de table : une Norvégienne et une Américaine. Elles ont une dizaine d’années de moins que nous et visitent Paris. Nous leur indiquons de bons plans, des endroits à voir, enfin des conseils pour sortir. La Norvégienne va jusqu’à l’échange de téléphone pour son prochain séjour à Paris« s’il y en a un ».
    
    Chris nous propose de boire un verre chez lui. Elles refusent. C’était à prévoir : ni lui ni moi n’avons le physique de Georges Clooney.
    
    C’est donc seuls que nous rentrons à l’appartement. Chris est un spécialiste du café« correto ». Il ne lésine pas sur la dose d’Armagnac.
    
    Je m’attarde en espérant voir revenir ma Silou avant de partir. Il reprend un Armagnac, je reste sobre. La discussion devient plus hachée, plus lente, le sommeil nous gagne. Chris s’endort sur son fauteuil anglais, j’éteins la musique et la lumière. Je ...
    ... devrais m’éclipser mais Lucie ne va pas tarder… alors je vais attendre encore un peu. Je finis par m’assoupir à mon tour.
    
    Clic-clac : un bruit dans mon sommeil, suivi de pas étouffés, c’est notre jeune fille qui nous croit endormis. Dans la pénombre, je vois qu’elle passe loin de son père pour ne pas le réveiller(enfin, c’est ce qu’il me semble). Elle s’approche, elle se penche sur moi, le col de sa robe s’écarte et dévoile une partie de sa poitrine libre, son sein gauche est orné d’un piercing. Elle m’embrasse chastement sur le front, puis un peu moins sur les joues.
    
    Pourquoi délaisse-t-elle son père et m’embrasse-t-elle moi ?
    
    Je fais semblant de dormir et l’observe me regarder dans la pénombre. S’est-elle aperçue qu’ainsi penchée sur moi elle dévoilait son sein ? Et celui que je ne vois pas a-t-il aussi un piercing ? Putain, ça m’excite, il ne faudrait pas qu’elle s’en rende compte…
    
    Une odeur de parfum, de cigarettes, d’alcools et de chaleur humaine : elle a dû guincher toute la soirée. Disent-ils encore guincher les jeunes d’aujourd’hui ?
    
    Enfin, elle s’éloigne. Sans plus de bruit, elle va dans sa chambre.
    
    Je me fais des idées, une petite de 18 ans mignonne comme elle n’en a rien à faire d’un vieux de 50 balais comme moi !
    
    La lumière me réveille, il est 7 heures. Christophe n’est plus là, il est certainement allé se coucher. J’ai envie d’aller retrouver Lucie. Non, je suis fou ! La porte de la chambre n’est pas complètement fermée. Elle a dû la laisser ...
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