1. Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (1)


    Datte: 03/02/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... de sperme.
    
    J'ai l'impression qu’elle jouit de nouveau, de manière moins spectaculaire, mais diffuse et profonde. Les yeux chavires par le plaisir, elle presse ma bite et mes couilles pour en extirper tout le suc. Je me retire de son bas, regardant le foutre blanc étalé sur sa cuisse, souillant son bas noir.
    
    Elle me sourit, se retourne, se penche et sa jupe relevée sur ses reins, elle me tend sa croupe : - Maintenant, fais-le moi... Fort... J'en ai besoin !
    
    Je la pousse vers un fauteuil sur l'accoudoir duquel elle se plie. La vision de ses larges fesses tendant la soie de sa culotte me redonne une vigueur que je ne contrôle plus.
    
    Je la maintiens d'une main par la nuque et empoigne sa culotte que je baisse. Arrivée à mi-cuisse la soie ne résiste pas à la traction. Le bruit du tissu se déchirant décuple mon excitation. La splendeur de ses fesses d'une blancheur lourde d' albâtre s'épanouit dans la pénombre.
    
    Je me mets à genoux derrière elle. Insensible aux propos incohérents qu'elle grommelle j'écarte d'une main ses cuisses et les ...
    ... maintenant avec mes genoux.
    
    Mes doigts s'enfoncent dans la fourche de ses jambes, écartent les replis de chairs humides. De mon autre main, je dirige mon sexe tendu, me fraie un chemin et m'enfonce dans son ventre.
    
    C'est avec un long râle qu’elle accueille ma bite : - Ahh ! Oui ! Tu es gros, tu es dur, tu es fort !
    
    Mathilde ne parle plus, crispée, tendue comme un arc, elle pousse ses reins à la rencontre de mon pieu. Pendant plusieurs minutes, nous luttons en une joute charnelle de plus en plus complice. Nos souffles à l'unisson résonnent dans la pièce. Sous le choc des assauts, nos corps glissent sur le tapis où ils se mêlent dans une parodie inconsciente de lutte.
    
    Bras, bouches, cheveux, ventres... nos chairs s'entremêlent, s'épousent, se repoussent, fusionnent en une brutale et torride union. Sentant mon foutre jaillir de mes couilles, Mathilde se raidit, se tend à se rompre et, ensemble, râlant et geignant, nous éclatons en une jouissance interminable qui nous laisse tout aussi exténués. Repus... pour le moment, car cela ne fait que commencer. 
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