Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (1)
Datte: 03/02/2024,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Egrewam, Source: Hds
Je viens de terminer un stage de 6 mois en Angleterre et pour fêter mon retour ma tante m'a invité à passer un mois dans sa villa sur la Côte.
Il est plus de 22 heures lorsque tante Cécile m‘accueille à l‘aéroport et sur le chemin de la villa, elle m'ouvre que nous avons une invitée :- Mathilde est une amie de longue date qui passe quelques jours à la villa... Tu va être gâté, mon grand, c‘est une vraie cochonne... J e lui ai parlé de toi, c‘est-à-dire de nous... De nos jeux... Elle a hâte de te connaître...
À la villa, je fais la connaissance d'une dame proche de la soixantaine, encore très belle... et très forte. Malgré son âge, Mathilde n'hésite pas à s'habiller très court. Des seins énormes se dressent encore fièrement et elle sait s'habiller pour mettre l'ensemble en valeur.
Dans le grand divan dans lequel je suis affalé, je l'observe à la dérobée, par dessus le magazine que je suis sensé lire. Ma tante et Mathilde ont chacune pris place dans un fauteuil profond.
Elles devisent, tandis que je lorgne la poitrine de Mathilde et ses jambes. Elle porte une blouse très décolletée qui découvre profondément sa gorge et la naissance de sa poitrine.
Ses jambes, qu'elle croise et décroise sans cesse, sont gainées de bas clairs et, enfoncée comme elle l'est dans la chauffeuse, je peux apercevoir la bande plus sombre du nylon et le début de la cuisse dont la peau claire contraste avec le tissu sombre de la jupe.
Je peux voir les jarretelles appliquées sur ses ...
... larges cuisses. L'espace d'un éclair, j'entraperçois le triangle d'une culotte blanche. Elle ne semble pas s'en apercevoir.
Je me repais de ce spectacle que je savoure tout mon saoul. La vue fait place aux fantasmes. Cette femme mûre, il me la faut !
Mathilde croise et décroise les jambes, finissant par écarter ses fortes cuisses et j'ai le loisir de l'admirer en profondeur. Sa jupe est remontée, et je peux apercevoir la bande de chair très blanche au-dessus de la lisière de ses bas noirs.
Tout au fond, je devine sa culotte blanche. Maintenant, elle ne cherche plus à rabattre les pans de sa jupe, me laissant une vue imprenable sur ses jambes, ses larges cuisses jusqu'au renflement que dessine entre elles son sexe moulé dans le fin tissu de sa culotte.
Je bande comme un âne. Mathilde jette un regard dans ma direction. Ses yeux s'attardent sur l’érection qui gonfle mon short... et elle écarte largement les genoux, m'exhibant sans vergogne son entrecuisses... Son slip, plaqué sur la bosse volumineuse de son pubis, s'insinue dans sa fente et disparaît complètement dans le périnée, entre les fossettes de la naissance des fesses.
J'échange un regard avec ma tante. Son regard me fait comprendre qu'elle va prendre la direction des opérations : - Pierre, Mathilde me dit avoir du mal avec des lettres qu'elle doit rédiger en anglais... Comme tu maîtrises cette langue mieux que moi, tu auras sûrement la gentillesse de l'aider... Qu'en dis- tu ma chérie?
- Si Pierre accepte, ...