1. Souvenirs érotiques et cochons d‘un érotomane - La cochonne (1)


    Datte: 03/02/2024, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Egrewam, Source: Hds

    ... alors très volontiers...
    
    Bien-sûr que j‘accepte, d‘autant plus que j'ai le loisir d'admirer sa croupe de jument qu‘elle balance dans l‘escalier pour gagner sa chambre.
    
    Déjà, je l'imagine devant moi, en levrette, la culotte à mi-cuisses.
    
    ***Je me réveille tard, et en arrivant sur la terrasse, je trouve Mathilde seule devant son petit-déjeuner :- Cécile a dû se rendre en ville... Une affaire urgente à régler, m‘a-t-elle dit... Elle sera de retour dans l‘après-midi...
    
    Je ne suis pas dupe : cette “ affaire urgente“ est bien-sûr un prétexte de ma tante pour nous laisser seuls, Mathilde et moi. Je crois que celle-ci le soupçonne aussi lorsque elle ajoute :- Comme ça, nous serons bien tranquilles pour... travailler...
    
    Nous nous installons au salon, Mathilde étale une liasse de feuillets sur la table : - J'ai fait quelques brouillons, j'espère n'avoir pas commis trop de fautes...
    
    Je lui dicte les corrections à effectuer. Lorsque je lève les yeux, il me semble que l'échancrure de son chemisier s'est davantage ouverte.
    
    Concentrée et attentive, Mathilde écrit. Mes yeux plongent dans le sillon de ses gros seins, quand son stylo roule sur le bois du bureau et tombe sur la moquette.
    
    Je me penche sous la table pour le reprendre et je découvre alors un spectacle plus qu'excitant : les cuisses croisées de Mathilde, sa jupe de tailleur relevée et laissant voir non seulement ses bas, mais aussi, traversant la peau nue de sa cuisse une jarretelle noire.
    
    Elle décroise ...
    ... et recroise ses jambes, je vois nettement le haut de ses cuisses, son porte-jarretelles et, un instant furtif, la dentelle blanche et ajourée d'une culotte minuscule.
    
    Je reste ainsi contemplant les jambes gainées de Mathilde, quelques secondes de plus que nécessaire au simple ramassage de mon stylo.
    
    En me relevant, je vois que Mathilde me sourit d'un regard en coin, parfaitement complice.
    
    - Alors, ça t‘as plu ?
    
    - Euh... Et bien je...
    
    - Oh, tu veux dire que ça te fais bander?
    
    - Euh... oui ...
    
    - Tu veux revoir ? Inutile de faire tomber le stylo cette foi s- ci...
    
    Je me penche de nouveau... Mathilde relève la jambe du haut pour la décroiser très lentement, de telle sorte que je peux voir son entrecuisse, la lisière des bas et les jarretelles lui barrant la peau.
    
    Je vois sa main se poser sur sa cuisse et de ses ongles longs jouer avec une jarretelle en touchant la dentelle de sa culotte tendue sur son pubis..
    
    Je me laisse alors glisser à terre et, à quatre pattes, j‘avance sous la table vers la fourche de ses jambes maintenant ouvertes.
    
    Je pose la main sur son genou, faisant crisser le bas et lui caresse doucement la cuisse. Je vois et entends son ongle verni de rouge gratter légèrement sa culotte, de manière plus qu'érotique. La fragrance de son entrecuisse m'excite de plus en plus.
    
    Progressant encore, je pose mes lèvres sur sa cuisse, l'embrassant par- dessus son bas, puis l'autre jambe, de la même façon. Je ne me pose plus de question, elle ...