1. Vrai ou faux 3 – Un, deux, trois, je m’en vais au bois


    Datte: 02/02/2024, Catégories: fh, ffh, Humour Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... pense que… si vous me le permettez…
    — Je te permets et je t’écoute.
    — Vous pourriez aussi me dessiner… aussi bien en tant que fille qu’en tant que soumise.
    — Hmmm… J’y réfléchirai. En attendant, essaye de jouir, j’ai trop envie d’entendre tes gémissements.
    — Oui, Maître.
    
    Mon pouce toujours planté dans son entrée des artistes, je m’active encore plus, Isabelle ondule sur mes doigts, je suis prêt à parier qu’elle est tellement excitée que sa cyprine dégouline vers le sol. Cette fille est un bon cru, c’est indéniable. Et dire que j’ai passé tout ce temps à ne rien faire avec elle, parce que son état de sœur d’un copain me bloquait. Si je n’avais pas les deux mains occupées, je me mettrais des baffes !
    
    Pour ma plus grande satisfaction de jeune mâle tortionnaire, Isabelle se met à jouir en sourdine, le corps assailli de multiples tremblements, laissant échapper plein de gémissements étranglés, étant visiblement en proie à quelque chose qui la ravage intérieurement, qui la submerge.
    
    Que c’est beau une femme qui jouit !
    
    Comme l’autre fois, j’applique encore deux belles claques sur son fessier, une à droite et une à gauche, pour l’équilibre, puis j’arrête ma torture. Je retire ensuite mes doigts humides de sa chatte détrempée et de son étroit rectum. Ma soumise halète fortement. Posant mon autre main sur son dos afin qu’elle reste dans la même position, j’attends un peu, le temps qu’elle récupère partiellement.
    
    — Et c’est là que cette salope lèche les doigts ...
    ... gluants, c’est ça ?
    — Marc, je n’aime pas tes coupures intempestives…
    — OK, OK… continue…
    — Je te remercie…
    
    Donc disais-je, j’attends un peu, le temps qu’elle récupère un peu. Mes doigts sont poisseux de cyprine. Extirpant mon sexe bien raide, je badigeonne ma colonne de chair avec ce lubrifiant improvisé. Puis quand celle-ci est bien luisante, je décide de passer à l’étape suivante.
    
    — Reste comme ça, oui, c’est ça…
    
    Visant bien la rondelle ourlée, je pousse en avant mon bassin. Mon gland gluant entre sans problème. Ma soumise pousse un petit cri de surprise. J’ordonne :
    
    — Reste comme tu es !
    — Si mon Maître a envie de m’enculer, il m’encule…
    — Parfaitement résumé !
    
    N’empêche que, mine de rien, c’est quand même Isabelle qui tire les ficelles. Je parie que c’est ça qu’elle souhaitait que je lui fasse. Elle m’a tendu la perche tout à l’heure. Si je comprends bien, un Maître ne fait qu’appliquer que sa soumise souhaite qu’on lui fasse.
    
    Qui domine qui, finalement ?
    
    Foin de ces considérations philosophiques, je commence à ramoner ma soumise, en m’enfonçant un peu plus loin à chaque coup de reins. Isabelle gémit, se tortille parfois un peu, restant néanmoins dans le même axe, celui du pieu qui l’empale. Puis arrive le moment béni où mon bas-ventre claque contre ses fesses toutes rouges, preuve indéniable que je suis entré jusqu’à la garde.
    
    Durant ce temps, Isabelle se masturbe afin de mieux supporter l’outrage. Tout en la pistonnant joyeusement, je lui demande ...
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