Vrai ou faux 3 – Un, deux, trois, je m’en vais au bois
Datte: 02/02/2024,
Catégories:
fh,
ffh,
Humour
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
Cette fois-ci, Marc et moi sommes sur un cours de tennis, assis en train de regarder nos femmes(sa Corine et ma Valérie) en train de jouer. Nous ne passons pas tout notre temps à nous balader dans les parcs.
Bien sûr, comme de coutume, mon voisin ne peut s’empêcher de me confier ses diverses bonnes fortunes, dont je soupçonne qu’une bonne partie soit imaginaire et que l’autre partie soit un tantinet exagérée. Et puis, quelle idée de me dire ce genre de truc alors que sa femme est en train de renvoyer la balle à quelques mètres !
Franchement, il est inconscient ! Mais ça fait partie du charme étrange de l’individu que je connais depuis le collège…
Il est indéniable que Marc est beau, un air d’Alain Delon, quand celui-ci était dans ses meilleurs jours. Hélas, si le physique est sublime, le cerveau a carrément migré sous le ventre. Tant que Marc ne bouge pas, ne dit pas un mot, il est divin. Sinon…
Mon presque divin voisin me glisse à l’oreille :
— Au fait, Léo, ton type et sa soumise de la dernière fois, tu sais d’autres choses sur eux ? T’avais laissé entendre que t’aurais pu écrire un livre…
— Avec ces deux-là, oui, au moins un livre, peut-être une trilogie en délayant un peu.
— Qu’est-ce que tu peux me raconter de plus ?
Je réponds en biaisant :
— Rejouons, mais en triple exemplaire.
— Euh… c’est-à-dire ?
J’explique ce que j’ai envie d’expérimenter :
— Que je vais te raconter trois courtes anecdotes, surtout les deux dernières, tu devras ...
... deviner pour chacune si elle est vraie ou fausse. Ça te dit ?
— Comme les autres fois, je dois deviner si c’est du pipeau ou pas, c’est ça ?
— Exactement.
Je souris, commençant ma narration, avec une précision :
— Comme la fois dernière, pour le fun, je vais faire comme si j’étais le type en question. Donc je vais dire « je ».
— Oui, oui, j’ai compris que t’es pas le type en question. Tu joues son rôle, comme un acteur.
— Exactement. Allez, c’est parti !
Employant comme les autres fois la première personne du singulier, je me lance dans ma première histoire du lot.
Tout en regardant nos femmes jouer, je me cale dans ma chaise, puis je commence :
— Retour au fameux parc, pour une autre séance avec nos deux jeunots, le maître et sa nouvelle soumise un peu plus jeune que lui.
— Les mêmes que la fois dernière ?
— Oui, les mêmes. C’est parti pour cette première histoire !
Donc, ce jour-là, dans le fameux bosquet, Isabelle est en appui contre un arbre, elle présente ses fesses dénudées à la fessée que je suis en train de lui infliger. Mes diverses tapes font vibrer ses chairs tendres, un joli spectacle que j’apprécie beaucoup. Son mignon cul potelé rougit petit à petit, je ne force pas la dose, le but est de rester ludique, pas de faire mal. Entre deux tapettes, je m’offre le luxe de caresser la peau écarlate, chose qu’Isa aime beaucoup. Tant mieux pour elle et pour moi !
— Euh, Léo… t’as pas déjà raconté cette partie ?
— Elle ressemble, oui, c’est vrai. C’est ...