Vrai ou faux 3 – Un, deux, trois, je m’en vais au bois - Histoires de Sexe

Vrai ou faux 3 – Un, deux, trois, je m’en vais au bois

... pour te mettre dans le bain…
— C’était avant la pipe, n’est-ce pas ?
— Tu as bonne mémoire. Je continue…

À présent, son mignon cul est bien rouge, un rouge admirable ; j’estime que ça suffit. Je le caresse une dernière fois avant de déposer sur chaque fesse écarlate et chaude un baiser bien appuyé et bien bruyant. Amusée, ma soumise fait remarquer :

— Ça se fait pour un Maître de baiser le cul de sa soumise ?
— Le Maître fait ce qu’il veut. Si j’ai envie de baiser ton cul, je le baise. Si j’ai envie de fesser ton cul, je le fesse.
— Si mon Maître a envie d’enculer sa soumise, il l’encule, c’est ça ?

Je ne m’attendais pas à ce genre de réflexion. Pour ne pas perdre la face, je réponds flegmatiquement :

— Bien sûr, si j’en envie de t’enculer, je t’encule, mais seulement si je le veux. C’est moi qui décide. Tiens, je pourrais même avoir une meilleure idée : appeler un ou deux inconnus pour le faire à ma place.
— Tu… tu rigoles !?

Je donne une petite tape sur le cul rougi :

— C’est comme ça qu’on parle à son Maître ?
— Euh… pardon, Maître.
— Ça va pour cette fois. Écarte tes jambes !
— Oui, Maître.

Une fois de plus, ma main vient masturber cette belle cochonne déjà dégoulinante. Isabelle se laisse faire, elle aime ce genre de chose, d’autant qu’elle se doute bien que je vais me faire un plaisir de la faire jouir. Deux doigts sur son clitoris en feu, deux doigts dans son vagin détrempé, un pouce qui s’attarde en haut comme en bas, au gré de mon ...

... humeur. Le tout dans divers bruits de succion incongrus, mais excitants.

— Oooh… Hmmm…

Bien sûr, je n’oublie pas d’entretenir le rouge de ses fesses, avec diverses tapes appropriées. Sous ce double traitement déjà appliqué, Isabelle se tortille de plus en plus, j’accentue mon emprise. J’ai envie de l’entendre jouir, de la voir jouir, elle, mon nouveau jouet. Je lui glisse alors à l’oreille :

— Allez, laisse-toi aller, petite soumise, fais-moi entendre à quel point tu aimes ce que tu es en train subir !
— Oh oui, c’est bon, Maître ! Trop bon ! AH !?

Le AH !? est dû au fait que traîtreusement mon pouce englué de cyprine est venu s’enfoncer sans préambule dans son entrée des artistes. Son anus palpite carrément autour de mon doigt planté dans ses profondeurs.

— Alors, tu aimes, petite enculée ?
— Oui, j’aime…
— Il faut un début à tout, donc commençons en douceur…
— C’est tout à votre honneur, Maître, mais vous savez, je ne suis plus vierge à cet endroit depuis un certain temps…

Je ne m’attendais pas non plus à cette révélation. Pris de court, je lâche un pathétique :

— Ah bon ?
— Ben oui. J’ai souhaité préserver pendant un certain temps ma virginité… Il faut vous faire un dessin, Maître ?
— Je te remercie, mais d’habitude, c’est moi le dessinateur.
— Vous savez très bien dessiner des arbres, Maître…
— Je sens comme une pointe d’ironie…

Cul toujours offert, ses mains contre l’arbre, ma soumise se défend :

— Non, non, vous avez bien dessiné, mais… je ...