1. Envoutée par un vieux Tamoul


    Datte: 01/02/2024, Catégories: fh, hplusag, couleurs, asie, extracon, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme fantastiqu, fantastiq, Auteur: Effrontee, Source: Revebebe

    ... encore plus intensément. J’ai mis plusieurs minutes avant de me remettre. Il a rajusté lui-même mon chemisier et a appelé le tuctuc pour qu’il me ramène à l’hôtel. Sur le pas de la porte, il m’a offert le bracelet sur lequel il travaillait.
    
    Aujourd’hui, j’ai encore la sensation de sa bouche, de son regard et de sa main sur mon sein. Je me masturbe en l’imaginant me prendre avec ce regard froid, satanique. Les jours m’éloignent de ce souvenir, mais l’envie de lui en moi reste toujours aussi prégnante. Je me suis caressée une nouvelle fois ce midi en y pensant.
    
    Et s’il m’avait envoûtée ? J’ai encore envie, là ! Je porte encore sur moi son odeur, la douceur de sa main, le goût de son baiser… et le contact de son sperme dans ma main.
    
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    Je suis réveillée en sueur. La chambre est dans la pénombre. Le bracelet brûle mon poignet. Monsieur dort à mes côtés. Mes yeux s’habituent au noir et, lentement, j’aperçois la silhouette droite au pied de mon lit. C’est lui.
    
    Toujours bossu, toujours aussi énigmatique. Je sens ma volonté m’échapper. Il me soumet à la sienne. Je lui obéis. Je me dresse dans le lit, j’enlève ma nuisette pour lui apparaître nue.
    
    Il a toujours les yeux sur mes seins. Je suis prise d’un tremblement. Monsieur ne se réveille pas et semble complètement étranger au moment présent. Sur les genoux, je m’approche de lui. Il semble m’attendre au pied du lit.
    
    Là, je me couche sur le dos, les pieds pendants au bord du matelas, et lentement, ...
    ... toujours, je soulève mes jambes et je lui ouvre la fourche de mes cuisses. Je ne suis pas à l’origine de cela. C’est lui qui ordonne. Je glisse une main entre mes cuisses et j’écarte les lèvres de ma fente. Il mate toujours mes seins. Je le vois qui dénoue son sarong et le laisse tomber à ses pieds. Son sexe apparaît dans la lumière tamisée de la lune dans la chambre. Il bande comme un jeune étalon. Je soulève mon bassin comme une invitation à me prendre, me baiser. Monsieur ne bouge toujours pas. C’est magique ou maléfique. Je sens entre mes doigts ma mouille qui coule tellement je suis excitée.
    
    Je le veux en moi et rien ni personne ne m’en empêchera. Je veux qu’il me féconde pour le garder en moi.
    
    Il s’approche, me saisit les fesses et me soulève comme une plume pour amener mon sexe face à sa bite toujours aussi raide. Son gland joue d’abord avec mes lèvres brûlantes.
    
    Je ressens comme un frisson me parcourir. La sensation est celle tant de fois imaginée de cet ami qu’il me tarde de recevoir. Pourtant cet organe viril va me pénétrer plus profond et ensemencer mes œufs, mes ovules, afin de le garder en moi le temps de la grossesse. Toutes les cellules de mon corps resteront à jamais siennes.
    
    Je suis folle, oui, mais de lui. De cet homme mi-humain, mi-Dieu, mi-démon, sur la fin de sa vie ou sur le début de son éternité. Pour moi. Ça y est, il me possède, je m’offre. Sans bouger, je sens son sperme qui se déverse en continu dans mon ventre. Chaud, dense, telle une ...