1. Envoutée par un vieux Tamoul


    Datte: 01/02/2024, Catégories: fh, hplusag, couleurs, asie, extracon, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme fantastiqu, fantastiq, Auteur: Effrontee, Source: Revebebe

    Cet épisode chaud avec ce vieux Tamoul me trotte toujours dans la tête.
    
    C’était le dernier jour de notre périple au Sri Lanka. Nous avions « journée libre », une journée destinée aux derniers achats.
    
    Un tuctuc de notre hôtel nous a baladés de boutique en boutique… Classique. Nous sommes arrivés dans une boutique de bijoux et le propriétaire, très affable, nous a amenés dans une salle obscure et pas très propre où travaillaient deux employés, deux Tamouls… et je l’ai vu !
    
    Crâne rasé luisant, sauf juste au-dessus des oreilles où une bande de cheveux poivre et sel faisait penser au dessin d’une apostrophe. Une paire de lunettes cerclées en métal blanc, accrochée à une chaînette, reposait sur son nez.
    
    Il était beau et très vieux. À cet instant, la différence d’âge importait peu. J’étais subjuguée par l’aura qui se dégageait de ce vieillard. Torse nu, en sueur, un sarong coloré noué à la taille sur les cuisses, il était courbé sur son établi en train de travailler un bracelet. Je me suis placée devant lui à l’observer travailler, immobile, incapable de détacher mon regard de cette silhouette dans une pénombre sensuelle. Son visage transpirait la sagesse d’un autre monde, un monde irréel et comme diabolique. Quand il a enfin levé les yeux vers moi, j’ai ressenti une douce chaleur dans mon bas-ventre. Monsieur, qui était derrière moi, s’est aperçu de mon émoi.
    
    Le vieil homme m’a regardée au fond de mon âme. Je me suis sentie envoûtée. Incapable de réagir et de ...
    ... bouger. Nous étions cinq dans cette petite pièce, mais lui seul existait. Comme je restais figée, incapable de bouger, il a fallu que le patron me prenne le bras pour me conduire à la boutique. Nous avons acheté un bracelet tout simple en argent dont j’ai fortement souhaité qu’il ait été fabriqué par cet homme. Sans attendre, je l’ai passé au poignet. Illusion, envoûtement ? Toujours est-il qu’une étrange chaleur m’a envahi d’abord le bras puis tout le corps. Je paniquais car je ne pouvais plus contrôler mes sens.
    
    Nous avons dû partir. Mais son image m’obsédait. Je me suis sentie absente pour le reste de la matinée, incapable de m’intéresser à ce que je voyais. J’ai demandé à rentrer à l’hôtel.
    
    Monsieur à qui j’en ai parlé pendant le déjeuner m’a proposé d’y retourner seule si je le souhaitais. J’ai tout de suite accepté et me suis levée avant même de terminer mon dessert.
    
    Le même tuctuc m’attendait en bas de l’hôtel et j’ai remarqué qu’il me souriait quand je lui ai demandé de me ramener à la boutique. J’étais passée à la chambre pour ôter mon soutien-gorge, spontanément, sans réelle raison. C’était comme si j’obéissais à une voix étrangère et infernale.
    
    Le chauffeur de tuctuc a longuement maté mes seins nus sous mon léger chemisier que des taches de sueur rendaient transparent par endroits tant il faisait chaud et humide. Je ne fis rien pour me dissimuler à ses regards. C’était dans la convention, son salaire. Sans un mot, il m’a conduite à la boutique.
    
    Le patron ...
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