1. Envoutée par un vieux Tamoul


    Datte: 01/02/2024, Catégories: fh, hplusag, couleurs, asie, extracon, voyage, Voyeur / Exhib / Nudisme fantastiqu, fantastiq, Auteur: Effrontee, Source: Revebebe

    ... visiblement m’attendait et cela me troubla. Je me suis alors demandée si tout n’était pas prémédité, pré-écrit. Une écriture de mon destin.
    
    Je suis allée seule retrouver la salle. Je suis restée plusieurs minutes figée sur le pas de la porte à le regarder travailler. Il était seul désormais, son dos voûté par les années de travail, penché sur son établi. Sans bouger, sans remuer le moindre muscle, j’ai senti une jouissance méconnue m’envahir. Je ne pouvais pas la contenir, inexorablement elle montait en moi. Je m’abandonnais à cette sensation sans aucune honte ni retenue.
    
    Je me mis à penser à cette confidence de mon ami Pierre qu’il me confia un jour. Il y a quelques décennies, alors qu’il courait la brousse au volant d’un de ses Land Rovers par une chaleur écrasante, il rêvait tout éveillé à des situations érotiques qui le faisaient bander à mort. Au bout de quelques heures, dans une semi-torpeur due à la chaleur épouvantable du soleil et du moteur, il avait éjaculé sans même se toucher tellement ses pensées étaient fortes. Aujourd’hui, dans cette pièce surchauffée, à peine éclairée, je me laissai aller à jouir, sans même, moi non plus, avoir besoin de me caresser.
    
    Une fois la jouissance consommée, je suis entrée dans la salle, je me suis assise en face de lui. Il a gardé les yeux sur son ouvrage. Nous n’étions plus que tous les deux dans cet antre lugubre et sombre. Il faisait chaud, très chaud. Je transpirais de partout. Il manipulait un petit chalumeau ...
    ... préhistorique.
    
    Je ne sais toujours pas pourquoi mais, comme un automate, j’ai défait deux boutons de mon chemisier. Il a levé les yeux vers moi puis a maté mes seins nus presque entièrement dévoilés. Longuement. Je sentais à nouveau la chaleur envahir mon ventre mais je n’osais pas bouger de peur de rompre l’enchantement. Puis son regard s’est à nouveau emparé du mien. Fixement. Il a arrêté son ouvrage.
    
    Brusquement, il s’est levé, a contourné son établi pour me rejoindre, m’a prise par la main et m’a entraînée vers le fond plus sombre de la pièce. J’avais les jambes qui tremblaient. Je ne savais pas ce qu’il allait me faire mais j’étais prête à tout.
    
    Il m’a fait m’appuyer contre le mur et son regard a parcouru mon corps. Il s’est arrêté au niveau de ma poitrine qui visiblement l’obsédait. Alors, lentement, il a avancé ses mains, a ouvert complètement mon chemisier et m’a caressé les seins d’une main chaude et douce. Puis il a pris ma main et l’a glissée dans l’ouverture de son sarong. J’ai senti sa bite déjà toute raide. Il l’a doucement guidée pour une masturbation douce et sensuelle, puis il a pris ma bouche pour un brûlant baiser au goût d’épices. Son haleine était forte de senteurs inconnues. Il a accéléré le rythme de ma main sur sa bite et très vite il a joui dedans. Son visage est resté froid, sans aucun sentiment. Il me regardait droit dans les yeux et c’est alors que, sur ce simple regard avec sa main sur mon sein et ce baiser, j’ai joui à mon tour une nouvelle fois, ...