1. Élodie


    Datte: 31/01/2024, Catégories: f, ff, groscul, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation intermast, Oral fdanus, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... Nous avions commencé à faire connaissance.
    
    Il ne restait plus beaucoup de temps pour admirer le rougeoiement et le reflet sur les tours de La Défense. Nous étions accoudées comme deux vieilles copines. La position ouvrait mon décolleté, je sentais l’air plus frais s’engouffrer dans l’échancrure. Le résultat était une petite chair de poule et une grosse contraction de mes tétons. Je n’avais pas vu bouger Élodie qui semblait toujours fixer l’horizon, pourtant :
    
    — Tu as de très jolis seins
    
    Je restais sans voix. Flattée et excitée du compliment, mais incapable de répondre quoi que ce soit.
    
    — J’aime beaucoup les gros mamelons, je trouve que c’est très féminin. Les miens sont trop petits, enfin on arrive toujours à se trouver quelque chose…
    
    Devant mon absence de réaction, elle poursuivit
    
    — Tu veux les voir ?
    
    Je dus avoir l’air d’une gourde ahurie
    
    — Si tu veux.
    
    Elle tourna dos au soleil et passa son tee-shirt par-dessus sa tête.
    
    Elle avait en effet un superbe soutien-gorge aux contours et bretelles en dentelles avec des bonnets transparents. Les aréoles étaient très larges et sombres. D’un geste rapide, elle le retira, massa un instant ses seins et m’exposa ses petites pointes. Sa poitrine était ronde et ferme comme deux gros bols renversés sur le torse. Les aréoles étaient un peu froncées par la fraîcheur.
    
    — Tu vois : petits bouts.
    
    Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais j’ai écarté un pan de ma robe et je sortis le sein droit, au hasard le plus ...
    ... gros. Mon téton était complètement raidi et dur, l’aréole grumeleuse.
    
    — Tu triches
    
    Elle s’approcha et écarta le haut de la robe pour dégager le deuxième sein. Il n’y avait plus de doute sur ses intentions, je crois d’ailleurs n’en avoir jamais eu. Elle s’empara de mes seins.
    
    — Ils sont doux
    
    Elle prit ma main et la posa sur un de ses seins. La sensation était excitante, une masse de chair douce et ferme qui tenait à peine dans ma main. Je caressai un mamelon petit, mais dressé et dur. Elle ferma les yeux et je posai mes lèvres sur les siennes. Elle ouvrit sa bouche et nous enlaçâmes nos langues. Elle s’était saisie de mes deux tétons et les étirait, c’était à la fois douloureux et excitant. Collées l’une à l’autre, je l’avais entraînée sur le lit.
    
    Je la projetai presque sur les draps défaits. Lentement, je retirai ses chaussures. Le pantalon résista un peu et elle m’aida en soulevant ses fesses. Son corps était troublant. Ses seins dressés, ses hanches larges, son string de dentelle sous lequel s’exposait une toison noire et dense, bien contenue. Je retirai les quelques grammes de tissu déjà bien imprégné de son lubrifiant intime. J’en flairai le parfum et allai jusqu’à, du bout de la langue, en savourer le goût. Son ventre était bien replet et avait gardé les traces d’une ancienne grossesse, mais la peau était d’une douceur exquise. À peine avais-je retiré le fin textile, qu’elle écarta grand ses cuisses pour m’offrir la vue sur son sexe offert. La peau mate de ...