Mireille, premier jour
Datte: 29/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: EK43, Source: Hds
... cou.
Quelques instants plus tard, je revins auprès d’elle qui était toujours agenouillée, avec une bassine d’eau, l’éponge, de la mousse à raser, une tondeuse et un rasoir mécanique. Je savais que Mireille aimait les queues propres et je voulais qu’elle tombe amoureuse de la mienne. Je me déshabillais complètement, puis m’assieds au bord du lit et lançais l’ordre :« Rase-moi bien et suce-moi bien à fond après ».
Elle brancha la tondeuse et dégrossit rapidement mon pubis. Les couilles étaient la partie la plus délicate, avec le rasoir. Elle devait s’appliquer et elle s’appliqua. Lentement, efficacement, elle me débarrassa à de tout mon système pileux pubien.
La nuit qui commençait, s’annonçait longue. Elle ne serait qu’une suite de jouissance pour les deux amoureux que nous étions. D’abord Mireille, ma chienne m’avait sucé longtemps elle y avait mis toute sa science et 40 ans d’expérience, dans le domaine de la fellation, ça compte. Ensuite, le temps de reprendre de la vigueur, je l’attachais, sur le dos, en croix, aux montants du lit.
Pour commencer, je m’étais longuement occupé de ses chefs-d’œuvre mammaires. Ils eurent droit à ma langue, mes doigts, mes lèvres, mes dents, mes pinces à linge et à nouveau mes lèvres. Il fallait que je tète cette gourmandise !
J''étais vraiment amoureux de ses seins.
Je vérifiais avec un doigt si son vagin était trempé. Il l’était !
Alors entre le pouce et l’index, je commençais à triturer son petit clitoris tout rose ...
... !
Il était saillant, et méritait toutes les attentions ! Ma chienne était gémissante. C’est sous ma langue que son clitoris fut mis au comble de l’excitation. Elle cria !
C’est le moment que je choisissais, pour m’occuper de son vagin. Elle était vraiment trempée, c’ était l ‘Allier entre ses cuisses. Même si son sexe semblait étroit, sans difficultés, sans forcer, il avala toute ma main droite jusqu’au poignet. Le fist vaginal, moi j’appelle cela « la machine à jouir ». Je découvris à ses cris qu’elle aimait cela, avoir son vagin dilaté.
Mes doigts fouillaient bien au fond, grattaient, les parois, surtout le fond, où il y avait une petite zone sensible. La main sortait lentement avant de revenir d’un coup.
-« Tu aimes ça ma chienne ! ».
En réponse, je n' eus que grognements de plaisir.
Je la voyais qui tentait de se retenir, qui se mordait les lèvres, mais son plaisir ne répondait qu’aux ordres à ma main. Ma chienne Mireille n’était là que pour prendre et donner du plaisir. Jouir et faire jouir. Pour chaque jouissance qu’elle me donnerait, avec la bouche, le cul, la chatte, les mains ou les seins, elle en recevrait au moins dix de ma queue, de ma langue, de mes mains, de mes objets.
Pendant deux heures, oui deux heures, ma main droite dilata sa chatte et la jouissance fut à répétition ! Je n’ai pas compté !
Elle était pantelante, épuisée, transpirante.
Je m’assis sur ses cuisses et me penchait, torse contre torse, glissais mes bras sous ses épaules et ...