Mireille, premier jour
Datte: 29/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: EK43, Source: Hds
Mireille, premier jour.
Une drôle d’histoire qui me rappelait ma première vraie soumise.
Un jour, celle que nous appellerons Mireille, découvre mes récits sm et pornographiques sur un site spécialisé. Très vite, à la lecture, elle s’identifie à mes héroïnes, mises en scène dans mes nouvelles, Flore et Réjane. L’une est une soumise masochiste, inventée, l’autre une libertine gangbangueuse réelle.
Je n’ai jamais compris pourquoi, « Lyon », l’histoire fantasmée dont Flore est le personnage, m’avait valu plusieurs contacts et aussi plusieurs rencontres. Tant mieux.
Peut être que ces femmes, avaient vu en moi, une force, une violence maîtrisée, une hypersexualité débordante, perverse, humiliante, mais aussi jouissante, une sincérité empreinte de réelle tendresse pour les femmes, et que donc elles pouvaient se livrer avec moi, sans risque à leurs envies.
Sur le site, Mireille avait vu que je cherchais une muse. Après quelques hésitations, elle m’avait envoyé un message.
Bonjour, Je viens de découvrir vos récits. Super et bravo. J’aimerais bien correspondre avec vous, être votre muse pour vous inspirer pour de nouvelles histoires érotiques, devenir une de vos soumises.
Je suis une femme dans la soixantaine et j’ai tant d’envies non satisfaites.
Vous m’aidez à les réaliser ?
BisesMireille
Dès les premiers mots, on sentait, de l’envie, de l’émotion. Dès les premiers mots, je me suis dit, que celle-là, j’aimerais la séduire, en écrivant pour elle, en ...
... espérant qu’un jour, elle ait l’envie d’être à genoux, nue, en collier et laisse devant moi, pour de vrai, pour un moment de petit bonheur parfait. Un petit moment de bonheur parfait, c’est une femme en collier et laisse, qui aime jouir dans la soumission sexuelle . Pas féministe du tout, mais jamais de contrainte, si elle vient se faire dresser, c’est qu’elle en a envie. Beaucoup l’oublient, mais c’est la soumise qui choisit son mâle dominant, jamais le contraire !
Rien à voir avec les arnaqueuses, les faux couples, les prostituées, les trav mal rasées, mythos de tout poil qui me contactent habituellement.
Là je sens que c’est du vrai.
Habitant assez loin de moi, la soixantaine pimpante, potelée comme j’aime, plutôt petite, châtain clair, des lunettes, des cuisses musclées, des seins… Des seins, en poire, un peu lourds, qu’on a envie d’avoir en main, de larges aréoles avec des tétons qu’on voudrait téter. Qu’est ce que j’aimerais les voir pendre. Et puis, on devine, un cul, un joli petit cul à sodomiser et à fesser…
Le genre de femme, qui dans sa soixantaine fait bander les jeunots, quand elle se balade en jupe courte, les seins libres sous le corsage .
Le genre de chienne que j’aime avoir en laisse, à quatre pattes, gros nichons pendants, soumise, perverse, jouissante.
Alors comme elle veut être la muse de mes cochonneries, allons-y, elle est motivante, bandante à souhait.
Et puis, rien que de l’imaginer en chienne… Putain que c’est beau, putain que c’est ...