Mireille, premier jour
Datte: 29/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: EK43, Source: Hds
... corps en étaient la preuve.
Son pubis était glabre, comme épilé, mais par principe, comme pour en prendre possession, je me lançais dans un rasage soigné.
Je la séchais, j’en profitais encore. Ses deux gros nénés, que du bonheur ! Et son cul pareil ! C’est sans doute pour ça que j’en ai profité pour lui mettre une petite claque, ce qui lui fit rougir, les joues. Je sais, c’est bizarre, mais ce sont bien les joues qui ont rougi.
A ce moment-là, le rouge de ses joues fut quasiment sa seule expression depuis son arrivée. Pas un mot n’était sorti de ses lèvres.
Sèche, de haut en bas, je la traînais par la main dans le couloir, lui montrant au passage, la petite cellule aménagée de chaînes, où elle passerait la nuit, si un jour, elle faisait la chieuse, genre refuser de manger le nonosse, traîner pour ouvrir les cuisses, etc.
Dans la grande pièce, un lit immense, deux tables, des chaises, un fauteuil.
Sur une table, des verres, des assiettes, une bouteille de vin blanc.
« Va falloir que tu en profites, c’est le dernier repas que tu vas prendre à table, avant plusieurs jours ».
Mireille s’assit, en écartant les cuisses, mais en veillant bien à bomber le torse.
C’est vrai, elle avait, une poitrine magnifique, deux poires un peu lourdes, que j’aurai plaisir à malmener.
« Au menu, burger brivadois (saumon, lentilles blondes de Saint Flour, fourme d’Ambert, recette personnelle), salade, tomme aux artisous, tarte au chocolat. Ma cuisine n’est pas ...
... toujours très esthétique, mais elle est bonne, profites-en bien ! ». dis-je en secouant un sac de croquettes !
Lors des prochains repas, elle serait en laisse, à genoux devant sa gamelle.
Mireille avait à peine touché au burger, quelques feuilles de salade, un tout petit morceau de fromage, mais elle avait dévoré une grosse part de tarte au chocolat.
Elle avait ri quand un petit bout était tombé sur ses seins. Avant même qu’elle ait eu le temps de s’essuyer, je m’étais précipité pour lécher la tache. J’étais amoureux des seins de mon esclave et je voulais qu’elle le sache.
Dans quelques minutes, elle serait ma chienne. J’aurais aimé que ce fût pour la vie, mais ce ne serait que pour une semaine. Je me plaçais derrière elle debout, lui saisis les seins à pleines mains et entrepris un long pétrissage. Elle devina mon érection.
« Viens ma chienne, mets-toi à genoux ».
Je me dirigeais vers l’autre table où il y avait tout un fatras d’objets SM. Cravache, fouet, martinet, cordes, menottes et je saisis un collier et une laisse.
Devant elle, qui avait la tête à la hauteur de ma braguette, je posais la question rituelle : « Mireille veux-tu devenir ma chienne ? » Mireille avait les joues rouges et répondit par un murmure à peine audible :
-« Oui ».
-« Plus fort je n’ai rien entendu ».
D’une voix tremblante d’émotion elle lança :— « Maître, je suis votre chienne ! ».
Une sorte de déclaration d’amour, qui lui valut de recevoir un anneau de cuir à son ...