1. Mutinerie au Congo, Chapitre 05


    Datte: 28/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... le revers de sa chatte, tandis que ses cheveux châtains descendent sur son dos, formant de douces vagues éclairées d'un brun noisette sur le blanc de ses petites épaules.
    
    « Allez, la Blanche! Dis-le que tu adores te faire baiser par les soldats congolais! Dis-le, sinon tu vas voir ton père se prendre une balle dans la tête! Dis-le! Dis-le! » tonne le lieutenant, usant soudainement d'un ton méchant...
    
    « S'il vous plaît... Non... arrêtez... J'en peux plus... » gémit la fille entre ses geignements redoublés, mais le lieutenant n'en démord pas. Pendant qu'il continue de lui tapoter le cul de sa bite bien durcie, pendant que le caporal-chef balance sa sauce dans Charlotte en poussant un rugissement bienheureux, il ordonne encore et encore à Jeannine de dire combien elle adore la grosse bite congolaise, que c'est sa raison de vivre.
    
    Surmontant l'humiliation écrasante, la jeune fille balbutie... « J'ad... J'adore. Les bites. »
    
    « Plus fort et plus clair, ma petite pouliche des Ardennes. Tu adores quoi? »
    
    « J'adore... J'adore me faire défoncer par les soldats congolais! Je trouve, je trouve leurs bites bien chaudes et grosses... Aahhhh... S'il vous plaît... Allez-vous-en! »
    
    Le papa, toujours ligoté à sa chaise, ressent une énorme excitation quand il entend Jeannine dire « par les soldats congolais » et tout ça pendant que Charlotte continue de se faire emboutir en levrette, la face glissant sur la table dans un va-et-vient qui répond à celui des coups de bélier ...
    ... qu'elle reçoit au plus profond de sa chatte. Elle fait la joie d'un autre nègre, puis du suivant.
    
    Jeannine elle-même ressent son sexe frémir d'une excitation sauvage lorsqu'elle s'entend dire qu'elle adore se faire défoncer par les Congolais avec leurs bites chaudes et grosses.
    
    Le sous-lieutenant Nkongolo la pénètre sans crier gare et la secoue comme un prunier sous un barrage de très furieux coups de boutoir; elle gémit haut et fort, son petit corps de fille tout agité de ce débordement de fureur virile. Le viol est brutal, cru et arrache de profonds râles aux deux êtres qui font ainsi la bête à deux dos, le Congolais avec la jeune Belge; le nègre révolté avec la fille du Blanc.
    
    Le sous-lieutenant Nkongolo tient convulsivement sa taille fine et souple tandis qu'il la viole comme un forcené avec un long filet de bave s'écoulant de sa bouche entrouverte; il contemple son magnifique cul de jeune fille et ses cheveux d'un châtain soyeux, tout secoués sous l'empire du viol sauvage qui abolit tout; il n'y a plus de loi, ni plus rien qui protège les jeunes filles de la furie des mutins...
    
    Arrivant au point suprême, le sous-lieutenant Nkongolo s'excite dans une bruyante litanie de joie triomphante qui fait honneur à la beauté des Européennes...
    
    « Ah oui... OUI! OUI! AHH C'EST BON! ON S'EST RÉVOLTÉS! ON A GAGNÉ! OUI... OUI, ON A GAGNÉ! ON A GAGNÉ... ET LÀ... ET LÀ... ON VIOLE LEURS FILLES! AAAHH, LEURS FILLES... AVEC LEURS SEINS TOUT BLANCS, LEUR CUL TOUT BLANC... AAAHHH ...
«12...171819...23»