La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1574)
Datte: 24/01/2024,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... d'ordre contraire. Après une bonne heure, Walter revint avec des feuilles, un stylo et un gode puis me dit d'une voix perverse suave et autoritaire :
- chienne Maera MDE, tu vas t'empaler sur ce gode ventousé au sol en le faisant pénétrer dans ton cul de pute, pas dans ta chatte. Tu écriras dans une position assise par terre, avec tes cuisses largement écartées et donc avec ce gode bien planté profondément dans ton anus, 100 fois et sans aucune rature, ni fautes d'orthographe, sinon tu recommencerais cette phrase :
" Je ne dois jamais jouir sans l'autorisation du Maître auquel j'appartiens, Monsieur le Marquis d'Evans, même dans mon sommeil."
- Je viendrais vérifier par la suite, tu écris bien sûr dans cette position et sans bouger, ni la moindre jérémiade c'est évident. Tu commences dès maintenant, exigea le Majordome, d'un ton vicieux pervers tout en repartant…
Je me mis à l'ouvrage assise à même la dalle froide du béton de ma cellule, le gode bien empalé dans mon fondement… Le plus important pour moi, tout ce qui comptait, c'était que j'écrive ces 100 lignes sans faute, ni la moindre rature et que je fasse honneur à l'éducation de Monsieur le Marquis d'Evans. Je recopiai donc la phrase tout en m’appliquant pour écrire sentant bien sûr bien profondément ce gode invasif dans mon anus et n'oubliant jamais quelle est ma place. Je n’étais pas à la deuxième ligne que je sentais tout d’un coup le gode se mettre à vibrer dans mon cul… Je compris que ce sexe factice ...
... était télécommandé à distance. Tout d’abord, il vibrait doucement pour monter crescendo, jusqu’à une vitesse rapide imposant la dilatation de ma cavité anale… Il m’était difficile de me concentrer sur les lignes à faire…
C'est au bout d'une heure je dirais, que les 100 lignes étaient copiées sur les feuilles blanches et sans aucune faute, ni gribouillage et cela malgré les folles vibrations dans mes entrailles. Je posais donc le stylo et attendis ainsi assise sur le froid du béton, sans aucun bruit, ni le moindre mouvement de ma part, dans le silence presque complet. Le seul bruit et le seul mouvement perceptible que je ressentais était ceux du gode vibrant toujours dans mon cul de pute… Après une bonne vingtaine de minutes je dirais, le gode s’arrêta et le Majordome rentra dans la pièce, puis se saisit des feuilles et inspecta mes lignes attentivement…Puis, avec un sourire en coin au niveau du visage, il me donna l'ordre de me reposer et il quitta la pièce sans me retirer le gode. J'eus le droit à un bon moment de repos qui me fit beaucoup de bien et me parut totalement salvateur, je m’étais donc endormie de fatigue, restant godée du cul… Je ne sais pas combien de temps j’avais dormi quand Walter rentra de nouveau, avec un martinet et exigea d'une voix calme et froide :
- Mets-toi en position, sur le dos jambes, et cuisses écartées, les bras sur la tête. Je vais t'administrer quinze coups de martinet sur ta chatte. Et bien entendu, je ne veux entendre aucun son et ne pas ...